Breath without you (EN RÉÉCRITURE M :))

Chapitre 36

Carla

-Fait chier murmurai-je rapidement en attrapant le téléphone.

Ne connaissant pas le code du téléphone, j'utilise l'appel d'urgence et compose le numéro de téléphone de Dolce que je connais par coeur après autant de coups de téléphone.Mes parents habite moins près de la police de Los Angeles et je ne sais même pas si ils sont en contacte avec l'agent Donovan qui s'occupe de notre affaire avec Allan.

Mon cœur me supplie d'appeler Ezio mais ma raison me dit que si Allan la...il ne me répondra pas et je n'est aucune chance de sortir d'ici.Mes doigts déverrouille le téléphone qui n'a pas de code sans surprise et je profite de ma longueur d'avance pour écrire un message à Ezio.
Je me fiche de paraître pour une folle accro à un homme qui n'est plus là et qui aime un mort,qu'il le reçoivent ou que l'un de ses proches est gardé son téléphone.

Je veux que ce message reste pour toujours sur son téléphone,sur ce petit combiné.
Une fois fait je compose le numéro de ma meilleure amie mais j'entend des pas arriver à grandes vitesse.

Non non non pas maintenant.

-Allo? Demande faiblement mon amie à l'autre bout du fil.

-Retrouvez moi pitié murmurai-je

-Carla?! Mon dieu dit moi que c'est toi? Ou es tu?tu va bien? Demande t'elle
Je ne prend pas la peine de répondre.

Une seule chose m'intéresse.

-Ou est mon fils? Dit-je la gorge serrée

-Il est chez Ezio,on était tellement inquiet ou est tu bon sang?
Je m'apprête à lui répondre mais j'entends des voix.

-Sortez moi de la! Hurle Giovanni depuis le sous sol.

-Dans le petit salon déclare Allan depuis le couloir d'une voix grave et inquiète.
Je n'est pas le temps de lui parler,je ne peut pas lui dire où je suis non plus car je n'en sais rien.Elle doit absolument faire localiser cette appel mais j'ai vue assez de films policier pour savoir comment sa se passe.

L'appel doit durer plus de 20 secondes.

Et je n'est pas 10 secondes devant moi.

Il vont casser le téléphone à la seconde où il vont savoir que je m'en suis servie.Mais il faut qu'il reste allumé le plus longtemps possible pour que Dolce puisse contacter le lieutenant Donovan et qu'il retrace cet appel.Mes yeux se posent de nouveau sur la fenêtre et j'ai un éclaire de génie.Les hommes entrent dans la pièce ou je me trouve et je me précipite sur le fenêtre,je l'ouvre rapidement et fait mine de vouloir l'escalader.

-Carla ! Hurle Allan complètement fou de rage

Je me penche et jette le téléphone le plus discrètement possible dans un buisson du jardin après avoir coupé le son.Croyant que je m'apprête à m'enfuir ce que je n'aurait pas eu le temps de faire après avoir jeté le téléphone,deux mains serre ma taille et me jette en arrière.

-Si tu sort encore une fois de cette pièce je te tue comme ton enculé d'ex! Aboie t'il
Je me fige et les larmes me montent au yeux.Allan fait signe à ses hommes d'ouvrir et Giovanni parvient à sortir,le teeshirt autour de son bras est gorgé de sang,ses yeux ne sont plus bleus mais noir de colère.Il pousse les autres hommes et se dirige vers moi d'un pas décidé pres à m'attraper et à me faire payer mais Allan le stoppe et me tire en arrière.

-Je vais l'attacher ca lui passera l'envie crois moi,va te soigner lui ordonne t'il
Giovanni me jette un dernier regard qui signifie que ce n'est pas prêt d'en rester la puis sort de la pièce suivie par d'autres hommes.Je me dégage de la prise de Allan qui jette un regard à l'endroit ou j'étais.

-Tu comptais faire quoi?te planquer et attendre? Il est ironique évidemment mais au moins il ne ma pas vue ave le téléphone,maintenant je doit prier pour que le choc n'est pas raccroché l'appel et que Dolce agisse vite.Allan attrape ma nuque et me traine jusqu'au sous sol,il pousse la chaise bloquant la porte d'un coup de pied et l'ouvre en me trainant dans les marches si brutalement que j'ai du mal a poser mes pieds sur chaque marches.Je tente de me débattre en vain,il à trop de force et sa prise me fait bien trop mal.Il ouvre la porte en métal et me balance à l'intérieur sans aucune douceur,je m'écrase au sol et je le vois fouiller dans un coffre juste devant la porte.Il en sort des chaînes et ente dans ma prison en claquant la porte derrière lui.Mon corps tremble de peur,ses yeux sont remplie de colère et de vice alors qu'il s'approche dangereusement de moi.

-Ne me touche pas le prévenait-je en cherchant quelques choses au sol pour me défendre mais il semblerais que tout est etait nettoyé,il n'y à plus ni morceau de chaise ni bout de verre.Il hausse un sourcil amusé et ses yeux perfide se posent sur moi alors qu'il se lèche les lèvres de façon perverse me donnant envie de vomir.Chacun de ses coups et de ses viols me reviennent en esprit,les bleus semblent mentalement revenir sur mon corps qui a pourtant cicatrisé depuis mais a chaque fois qu'il pose ses yeux sur moi des frissons de dégoût recouvre ma peau.

-Arrête tu aimais que je te touchais ricane t'il en enroulant l'une des chaînes autour de son poing.Je recule précipitamment,l'air me manque et ma gorge devient sèche.Je devrais me taire mais j'en suis incapable.

-tu me violé pauvre con aboyai-je avec colère ce qui lui arrache un regard vers le ciel comme si j'en faisait des tonnes.

-Moi au moins je te touche,ce De Luca n'avais même pas encore reconnus ton fils et ne t'avais pas reconnus comme sa meuf non plus

Qu'il parle de lui au passé me fend un peu plus le cœur,me rappelle que je ne le verrais plus jamais rire,qu'il ne m'embrassera plus jamais et que Alessio ne serrera plus jamais son papa dans ses bras.

-Tu n'a aucune idée de ce qu'il y avait entre nous
Il semble comprendre ce que je sous-entend et sa colère s'amplifie d'avantage.

-Vous avez couché ensemble?! Hurle t'il

Il ne me laisse pas finir et accroche les chaînes à des crochets au plafond.Il tire mes cheveux et accroche les chaînes à mes mains avant de les tirer si brutalement que mes bras manque de m'être arracher.Il attrape mon mentons maintenant que je sis suspendue au plafond et il me regarde droit dans les yeux.

-Ce mec etait un pauvre connard qui joué avec les filles tu le sais ca? Dit-il les ents serrées.
Je serre mes ongles dans la paume de ma main pour essayer de me calmer mais je ne supporte pas qu'il parle ainsi de Ezio.

-tu ne le connaissait pas !

Sans m'en rendre compte je m'étais mise à pleurer,j'étais un peu plus anéantis à chaque seconde que je passait ici loin de mes proches mais rien ne vaux la douleur que je ressent à l'idée d'avoir perdue Ezio.Je savais que j'avais des sentiments pour lui,quand nous étions au zoo je le savais déjà,quand je l'ai vue aider notre fils à marcher pour la premiere fois je le savais c'était evident mais en réalité je l'ai aimée à la seconde ou je l'ai vue dans ce bar:ténébreux,virile et avec un coté distant.J'avais vue dans ses yeux que cet homme n'étais pas seulement un canon mais qu'il etait aussi fondamentalement gentil et plus bienveillant qu'il ne le laissait entrevoir.Je l'ai aimé à la seconde ou nous avons fait Alessio et si je croyais avoir souffert en apprenant qu'il etait marié et qu'il c'était jouée de moi je crois que la douleur de le perdre aujourd'hui est équivalente à un troue béant dans ma poitrine.

-Non et je suis ravie qu'il soit mort crache t'il pres de mon visage avant de se diriger vers la sortie.Je me retrouve seule avec le chagrin qui monte peu à peu en moi.

Ma sœur et maintenant lui,tous ceux que j'aime meurt à cause de moi.