Chapitre 4

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04.

ÉMIR

-Arrête de tirer bêtement et vise bien ! Quel con. Dit je absorber par la télé.
-Tes drôle toi c'est toi qui joue ou moi là ? Se défend Akmar.
- T'es nul c'est tout Akmar. Dit je.
- Bon je met de côté ma fierté passe la manette à Shams je ne peux pas me permettre de perdre dans un niveau aussi haut. S'exclame Ramzi

Shams regarde l'horloge accrocher au mur de la chambre de Ramzi, son sourire s'effaça aussi tôt.

-Je dois y'aller. Dit t'il en se redressant du lit de Ramzi.

-Déjà ? Demande Ramzi.

-Depuis ce matin on est ensemble, on a fait que traîner dans ta chambre. Rétorque t'il.

-Traîner ensemble c'est jamais assez. Je répond.

-Serait ce une déclaration de la part de notre brute ? Dit Ramzi avec un sourire au coin.

-Même pas en rêve ! Me défendit je.

-Je doit rentrer aussi, j'ai pas vu ma famille du week end. Rajouta Akmar en mettant pause sur le jeu.

-On à cours demain et j'ai ouvert aucun cahier j'y vais aussi. Déclarai je en dernier.

-Bon bas vous vous casser tous en même temps super. Dit t'il en s'affalant sur sa chaise de bureau.

-Pleure pas petit cœur, on se voit demain au lycée. Dit je.

Ramzi lève ses yeux au ciel avant de me faire un doigt d'honneur.

-Continue comme ça et je vais le dire à ta maman elle sera pas contente que son fils modèle fasse ça. Le menaçai je.

.....

                               ****
Akmar ouvre doucement la porte de sorte à ce que son entrée sois là plus discrète possible, après qu'il est réussi à franchir cette foutu prison, il retire ses baskets complètement usé puis scrute les lieu, personne dans le salon ni dans la cuisine, il fini donc par monter les escaliers et une fois à l'étage il observe la lumière qui ressortait de la chambre de ses sœurs, il le sais son frère et sa mère y son aussi.

Il respire profondément et ouvre avec douceur la porte, et c'est en ouvrant qu'il compris que sa petite famille était morte de peur à l'idée que se sois encore cette homme horriblement ivre, ils étaient assis sur le tapis près du lit de Myriam serrer l'un contre l'autre à trembler les yeux fermés.

-Ce n'est que moi, il est sortie. Murmure t'il avec calme.

Dès que la voix du jeune garçon se fais entendre leurs yeux s'ouvrirent, sa mère se releva et se précipita de prendre dans ses bras son enfant qu'elle n'avait pas vu depuis 2 jours.

-Oh mon fils, mon amour. Chuchota t'elle en pleurant en silence.
-Maman ne pleure pas s'il te plaît...

Ses sœurs suivirent le mouvement et entourèrent de leurs bras leur frère et leur mère.

-Tu est la lanterne qui éclaire cette maison. Déclara sa mère tout en caressant les petites boucles d'Akmar.

Akmar ne pu s'empêcher de sourire, il releva le regard et vis que son frère hésiter à s'approcher.
Jibril avait honte, honte d'être impuissant face à la situation de son grand frère qui lui ne l'aurai jamais abandonné.

Nous quatre ou rien T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant