Nous quatre ou rien T1

Chapitre 44

44.

EMIR

- Alors cette entretien ? Me demande Léa en mangeant dans son bol de céréales.

- J'ai été pris. Ai-je dis sous son cris d'hystérique.

- Je suis trop contente pour toi ! S'exclame t'elle.

- Merci jeune fille. Ai-je dis en prenant un gâteau d'un des placards de la cuisine.

- Les parents sont au courant ? Me demande t'elle.

- Oui je leur en est parler hier.

- Pourquoi je suis la dernière à le savoir ? C'est une blague ?!

- Orh t'es la troisième il y'a encore du monde après toi ne t'inquiètes pas.

Elle lève les yeux aux ciel.

- D'ailleurs tu penses qu'ils vont se remettre ensemble ? Me demande t'elle en parlant de nos parents.

- Je ne sais pas Léa, tout ce que je sais c'est qu'il ne disparaîtra plus jamais et qu'il cherche du travail.

- Comment tu peux être sûr qu'il ne repartira pas ? J'aurai toujours peur de ça.

- Je le ressens, ne t'inquiète pas il restera cette fois ci.

Je fini par quitter la cuisine et rejoins mon père dans le salon qui regarde la télé.

- Bien dormi ? Me demande t'il.

- Assez bien mais tes ronflements ne m'avais pas manquer. Ai-je dis sous son rire identique au miens.

- Tu vas jouer au foot ?

- Oui avec mes amis.

- J'aimerai bien pouvoir te revoir jouer, ou bien même qu'on rejoue ensemble. Dit t'il assez gêné.

Je souris doucement.

- Avec plaisir, ce week-end si tu le veux.

- C'est noté. me dit t'il.

Je quitte le salon et me rapproche de la porte de sortie avant de recevoir un message de Marvin.

Marv' : Ta dernière mission est prête

: Parfait on se rejoins ce soir pour en parler ?

Marv': ouais viens au QG pour 1h du mat

: Ok

Je suis soulagé de savoir qu'après cette mission je serai enfin libre, mais j'ai ce mauvais pressentiment qui ne veut pas me quitter, peut-être que je stresse juste.

Je descend de mon bâtiment et vois Shams debout sur son téléphone à m'attendre, ses cheveux sont plaqués et attacher, il porte un teeshirt ralph lauren avec un short de la même marque, aujourd'hui il fait chaud et beau.
J'ouvre la porte, il lève les yeux sur moi, il a l'air mal à l'aise je déteste quand on est comme ça.