chapitre 49

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49.

Voici comment j'ai toujours imaginer Ramzi sur la photo au dessus

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Voici comment j'ai toujours imaginer Ramzi sur la photo au dessus

RAMZI

dans ces moments là, tout paraît irréel, on se demande vraiment si ce qui se passe est vraiment entrain d'être vécu ou si nous allons nous réveiller de ce cauchemar.
Lorsqu'on entend ce genre de choses venant des autres, on a de la peine et on se sens mal pour ceux qui le vivent, mais lorsque cette situation touche quelqu'un que vous aimez plus que tout dans ce monde, quelqu'un pour qui vous n'hésiterez pas à donner un organe si il en avait besoin, pour qui vous pourriez accepter de céder votre place dans quelques chose que vous aimez le plus, alors à ce moment là, le sentiment de douleur se propage partout en vous et viens fissuré votre cœur.
Akmar se tiens face à nous dans le vide, et je me suis dit qu'il devait putain de souffrir pour être prêt à sauter et se donner la mort si violemment.
Face à ce genre de situation vous vous sentez tellement impuissant que ça en devient torturant, chaque mot qui sera dit pourrait tout changer.

- Akmar... L'appelle Shams la voix tremblante.

Il se retourne brusquement et nous regarde surpris.

- Vous êtes là ? je pensais que vous ne me trouveriez pas je pensais que... peu importe il faut que vous partiez.

- Akmar s'il te plaît descend de là, s'il te plaît juste descend. Le supplie Shams.

- Je ne me suis jamais aussi sentie prêt que cette nuit et je ne veux pas que vous voyez ça alors partez. Déclare t'il à présent en pleure.

- Si tu pars on sera tous mort de l'intérieur, tu sais ce que ça veut dire ? on sera littéralement mort.Lui Répond Shams.

- Arrête de dire ça ! Vous finirez par vous en remettre vous avez toute la vie devant vous.

- Tu t'entends parler ? Et si c'était moi qui était à ta place entrain de dire ce genre de choses tu ne m'aurais pas laisser.

- Putain j'aurai pas du vous écrire, j'aurai pas du...

- Akmar écoute moi s'il te plaît, je comprend que tu veuille tout stopper les choses deviennent trop dur à supporter et je ne pourrai pas ressentir ce que tu ressens mais ce soir si tu...si tu fais ça tu n'éteint pas qu'un cœur mais quatre, ce jour là où l'on s'est tous rencontrer pour la première fois c'était une évidence pour tout le monde, tout s'est fait naturellement on était lié d'une certaine manière. Quelques années plus tard nous avons fait un pact en côte d'azur, juste devant la mer, le soleil s'était couché et nous avons promis d'être inséparable, de nous protéger de nous voir grandir et vieillir que rien ne nous séparerai, ni les filles, ni nos problèmes, ni le temps. Tu t'es lié de trois frères tu as des responsabilités tu nous a nous.

Nous quatre ou rien T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant