Chapitre 11

91 7 2
                                    

11.

AKMAR

Je me sens perdu et ne sais pas où aller mais ce qui est sur c'est qu'il faut que j'arrête d'être debout immobile face à tout le monde, parce que ça deviens gênant à force.

Je me suis assis sur les premières marche des escaliers qui donne ouverture sur la cuisine. Je suis presque perdu dans mes pensées quand d'un coup je me suis fait bousculer par un couple plutôt presser de monter à l'étage. C'est à ce moment là que je vis un gars habillé tout en noir, il a même sa capuche sur sa tête je l'ai vu faire glisser discrètement un pochetons en plastique à une fille, ils sont dans la cuisine. Elle lui donne en retour un billet de 10€ avant de quitter la pièce.

Le gars mis le billet dans sa poche avant de remarquer que je suis entrain de le regarder, j'ai directement baisser les yeux mais je crois qu'il m'a vu quand même car il est venu dans ma direction. Sa paire de baskets noir viens de rentrer dans mon champ de vision, j'avale difficilement ma salive avant de lever mon visage vers lui.

- T'en veut ? Ma t'il simplement dit.

- Vouloir quoi ?

- Aller arrête j'ai cramer que tu me regarder fait pas l'imbécile. Répondis l'air ennuyé.

- Tu lui a donner quoi ?

- Elle voulais quelque chose de nouveau alors je lui est donner de l'ecstasy, les petits bourgs kiffent plutôt bien ce genre de produit.

- De la drogue c'est ça ?

- Bas oui t'es con ou tu le fais exprès ?

- Désolé.

- Pourquoi tu t'excuse ?

Je ne répond pas, je n'allais quand même pas lui dire que je suis un simple bouffon qui se trouve pour la première fois dans une soirée et en face d'un dealeur.

- Toi ta besoin de te décoincer, ta de la chance j'ai fais une bonne vente je t'offre un joint.

Il fouille dans ses poches et me sort un pochetons avec une sorte d'herbe dedans avant de me la tendre.

- Et comment je prend ça ?

- Tu t'es jamais défoncer toi ?

Je ne répond pas.

Il prend une grande inspiration visiblement désespéré.

- Viens on va dehors je m'occupe de ton joins et après je me casse, j'en est assez de voir la sale gueule de ces bourgs.

Je l'es suivie jusqu'à la porte d'entrée et nous somme sortie, il s'est diriger là où la piscine se trouve, avec quelque personnes autour.
Il s'est assis sur une des chaises.

-Bas t'attend quoi ? Assis toi.

Je fais ce qu'il me demande de faire pendant qu'il dépose l'herbe sur un petit papier avant de l'enrouler.

-Je ne t'ai jamais vu ici, t'es du coin ? A-t-il demander en léchant le bout du papier avant de le fermer.

- C'est la première fois que je viens ici mais oui je suis du coin.

Nous quatre ou rien T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant