chapitre 48

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48.

Voici comment j'ai toujours imaginer Emir sur la photo au dessus

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Voici comment j'ai toujours imaginer Emir sur la photo au dessus.

EMIR

Je passe soigneusement ma main sur ma chemise avant de sonner au portail de ma Anna, je tiens fermement une bouteille de rosée, je ne voulais pas venir les mains vide alors j'ai opté pour la valeur sûr.
quelques instant après le portail s'ouvre et elle apparaît face à moi avec un haut en col beige et une jupe courte en jean blanche, elle est ravissante, ses cheveux sont attaché en chignon haut avec quelques mèches lâcher que j'aurai bien voulu enrouler autour de mes doigts, je viens déposer un baiser sur ses lèvres pendant que ses yeux me regarde avec amour.

elle m'accompagne à l'intérieur avant que sa mère ne me saute dessus pour me faire la bise.

- Comment tu vas ? Je suis contente de te voir. s'exclame t'elle.

- Moi aussi, je vais bien et vous ?

- Tres bien, allons entre le reste de la famille et dans la salle à manger, mon fils n'a pas pu venir.

Je suis certain qu'il n'est pas venu délibérément pour ne pas me voir surtout.

- Quel dommage j'aurai voulu le revoir. Ai-je dis avec une mine dégoûter alors que je ne le pense absolument pas.

La soirée se déroule parfaitement, je l'es est dans la
poche, il est très facile de leur faire plaisir, il suffit de parler de voyage avec sa mère et de parler parcours professionnel avec son père, pour ce qui est de sa sœur elle n'est pas très difficile il suffit de l'intégrer dans chaque discussion en lui demandant son avis.
Anna n'a fait que me regarder avec un regard agréablement surpris.
Lorsque le dîner à toucher à sa fin ses parents ont insisté pour que je dorme à la maison mais il été hors de question que je ne sois pas là pour l'anniversaire d'Akmar alors j'ai refuser gentiment en leur expliquant la raison.
Anna a fini par me raccompagner jusqu'au portail avant de me sauter dans les bras, je la serre fort contre moi.

- J'ai l'impression d'être dans un rêve éveillé je suis tellement contente que tu es pu venir, ils t'aiment tous déjà c'est fou !

- Tout le monde m'aime. Ai-je dis en haussant les épaules.

Elle me donne une tape sur le bras en levant les yeux aux ciel.

- Dans la semaine tu as intérêt à venir dormir avec moi. Me menace t'elle.

- Je serai là pour te bercer promis, enfin surtout m'occuper de toi.

Nous quatre ou rien T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant