chapitre 34

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34.


AKMAR

j'ai fini par rentrer à la maison retrouvé ma famille qui m'avais énormément manqué. J'étais à nouveau moi même, je ne dormais plus autant, j'étais beaucoup moins agressive et manger mieux.
J'avais l'impression de revivre à nouveau, mais d'un côté certaines choses n'avais pas cessé d'exister.

- J'ai compris s'il te plaît c'est bon. Ai-je dis me retenant de pleurer de douleur.

- Je vais te redonner une vrai raison de retourner a l'hôpital sale clochard. Me crache mon géniteur.

Après la fin de cette torture qui ne cesse de se reproduire chaque jour  je me suis allongé dans mon lit et une larme a glisser le long de ma joue silencieusement.
J'aurai voulu hurler, tout déchirer, tout casser, mais tout ce que j'ai pu me contenter de faire c'est de pleurer en silence.

Je me suis assoupie pendant quelques heures avant de me réveiller avec l'envie de manger, j'ai descendu les marches et j'ai pu remarqué que mon géniteur n'étais plus à la maison.
C'est en me dirigeant dans la cuisine que j'ai entendu des pleurs provenant du salon, j'ai changé de direction.

Avec surprise je tombe sur ma grande sœur en pleure assise sur le canapé du salon, elle fixe le tapis.

- Myriam pourquoi tu pleures ?

- Je vais me marié.

- Qu'est-ce que tu racontes ? ai-je demandé en riant nerveusement.

- C'est la fin, il veut se débarrassé de moi, je vais me marié Akmar.

Ma mère s'approche d'elle et l'embrasse sur le frond avant de s'assoir à ses côté la serrant dans ses bras pendant que ses yeux perlent de larmes.

- C'est impossible, tu ne peux pas...je ne comprend pas...

- Je savais que ça finirai par arrivé, il me le faisais savoir de temps à autre que ça n'aller pas tarder, eh bien nous y voilà. a t'elle dit en souriant tristement.

Ses yeux étaient rouge comme ses joues, c'était la première fois que ses cheveux étaient lâchés, d'habitude elle les attache toujours par peur que notre géniteur la menace de les lui coupé, mais je crois que Myriam était juste fatigué de tout.

Mon cœur venait de se faire entailler à nouveau, je me sentais si impuissant que ça en devenait torturant.

- Je suis désolé Myriam, je suis tellement désolé. ai-je dit la voix tremblante.

elle me tend ses bras pour la rejoindre, je m'agenouille et pose ma tête sur ses cuisses pendant qu'elle me caresse les cheveux.

- Je t'aime Akmar, je t'aimerai toujours et je continuerai de prier pour toi. Ma t'elle dit.

À l'entente de cette déclaration je me mis suis à mouiller sa robe de chambre de mes larmes.
Ma grande sœur est une princesse à mes yeux, elle à toujours était là pour moi, elle a fait de son mieux pour me faire changé les idées quand le bruit des assiettes cassées résonnaient dans la maison. Elle me racontait toujours une histoire où j'étais le héros, la fin était toujours la même, moi accompagné de ma lanterne qui finissait par trouvé la sortie d'un grand labyrinthe sombre.
Elle disais que je méritais d'embrasser le bonheur, que tout finirait par s'achever, tout ne deviendrai qu'un mauvais cauchemar qui se dissipera.
Elle venait tout juste d'avoir 20 ans, elle aurait du se préoccuper de la dernière tenue qu'elle portera pour demain ou du prochain examen qu'elle passera et la voilà qui pleure parce que bientôt elle sera mariée de force.

Nous quatre ou rien T1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant