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"sourire pour refléter le bonheur alors qu'en réalité c'est la guerre, les soldats se battent sans lois dans le pays du coeur."
                                                              S.

Je vous passe plusieurs jours, je suis actuellement avec Ali chez moi entrain d'essayer de préparer à manger. Étant donné qu'il est là je garde mon voile les 3/4 du temps mais bon c'est pas grave.

Ali : pour une fois qu'ont fait un truc à deux ont s'en sort plutôt bien.

Moi : ont a pas encore fini porte pas l'œil.

Lui : t'inquièteee ont géreee !

Moi : tu va nous sortir la farine sucré là aussi ?

Lui : commence pas.

J'ai éclaté de rire.

Au final c'était trop bon, vraiment trop fier de nous.

Moi : vient ont sort un peu.

Lui : azyy je vais me mettre bien frais histoire de gérer quelques parisiennes.

Moi : qui va vouloir de toi même ?

Lui : t'inquiète pas pour ça, je suis là relève de Nahïl, le chouchou des nanas, tu crois vraiment j'aurais pas la côte ?

Moi : mais tu te prends pour qui mon frère, t'a pas encore vu les parisiennes, dis Hamdoullah si elle te regarde déjà t'a tête de gamin.

Il a commencé à me frapper alors que j'étais morte de rire.

Au final ont c'est préparé et ont est parti sur les champs, y'avait énormément de monde à croire il était 15h. Ont arrêter pas de rigoler, en une soirée ont a croisé des cas ptdrrr.

Un gars : scuser moi.

Moi : oui ?

Lui : j'ai perdu ma femme, sa fait 15min je la cherche, je suis un peu paniqué.

Ali : comment vous pouvez perdre votre femme wesh ?

Je lui ai mis un coup d'épaule.

Moi : vous l'avez vu quand la dernière fois ?

Le gars : et bien je suis parti lui acheter une rose et quand je suis revenu elle n'était plus là.

Ali : elle c'est fait enlever meskinaaa !

Moi : Ali ! Monsieur vous êtes dans votre état normal ?

Le gars : oh ne vous inquiétez pas, ont a bu deux trois verres, rien de grave.

Étant donné qu'il était déchirés, même si d'après lui c'est que deux-trois verres mdrrr. Je suis parti demander à un officier de police.

Moi : bonsoir excuser moi, vous n'avez pas eu a faire à une dame qui n'était pas dans son état normal ?

Ali : qui était complètement déchiré.

Je l'ai fusillée du regard.

Le policier : si effectivement, ont a amené une dame en cellule de dégrisement, sous le nom de  ****** ******.

Le gars : C'est ma femme !!! Elle est où ? Je peux la voir ?

Le policier : euh bon monsieur vous pouvez nous suivre au poste.

Un autre officier l'a amené dans la voiture, d'après le policier il allait le mettre lui aussi en cellule de dégrisement.

Après ça, ont été en fou rire, le gars il chercher sa femme une rose à la main complètement déchiré ptdrrr.

Âmes reliés que dunya veut séparer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant