Âmes reliés que dunya veut séparer.

52.

"L'amour frappe, la mort rattrape, tes yeux me disent parte pas, ton sourire rassure mon mal.
Je te laisse mon royaume, un héritier, et toi sur le trône.
Crois pas que sa s'arrête là, notre histoire fait que commencer, tu le sais : nos âmes au paradis Insha'Allah sont liés."
S.

Ont est donc arrivé devant chez ses parents...

Moi : Ça va ?

Ces mains étaient toutes tremblantes, elle a juste hoché la tête en guise de réponse.

Moi : Je toque ?

Narymel : Vazy.

J'ai donc toquer. Ont a attendu quelques secondes avant que la porte s'ouvre sur je suppose être sa mère. Son visage c'est décomposer, elle a pris quelques secondes avant de froncer ses sourcils.

Elle : Qu'est-ce que tu fait ici ? T'a pas compris la dernière fois, tu veux que ton père te tue ?

Narymel : Je veux juste vous parler Mama s'il te plaît.

Elle : Y'a pas de s'il te plaît part avant qu'il te voit, fait ta vie oublie nous.

Elle allait nous fermer la porte dessus quand un garçon d'environ 20-25ans est apparu, sûrement son grand frère.

...: Qu'est-ce qu'elle fait la celle là ?

Sa mère : rien elle va partir.

Il c'est approché puis a réouvert la porte.

Narymel : Kader laisse moi vous parler juste 5min s'il te plaît.

Lui : Dégage Narymel, t'es plus personne pour nous, t'a déshonoré la famille tu assumes. Va continuer à faire la timp si t'a besoin d'argent.

J'étais choqué de comment il parlait, moi qui voulais rester en dehors de la discussion j'ai pas pu m'empêcher d'intervenir.

Moi : Comment tu lui parles ? T'a oublié que c'était ta sœur ou quoi ?

Il m'a a peine regardé.

Lui : C'est plus ma sœur, elle le sait. Arrête de jouer le coup de la deuxième chance avec nous, jusque ici ont est respectueux si papa arrive il te fera avaler le goudron Narymel alors dégage toi et ta copine.

...: Qu'est-ce qui se passe ici ?

Sa mère : Rien Hassan rien, aller rentre Kader ont ferment la porte, aller.

Elle nous à fermer la porte dessus, j'ai tourné ma tête vers Narymel qui essayait tant bien que mal de retenir ses larmes. Puis a travers la porte ont à entendu des cris.

...: QU'EST-CE QU'ELLE EST VENU FAIRE ICI ENCORE CETTE TRAÎNÉE, JE VEUX PLUS QU'ELLE SOIT ASSOCIÉE À MON NOM COMPRIS ?

La porte c'est soudainement ouverte sur son père bien évidemment.

Il a pris Narymel par le bras d'une telle violence que j'ai été incapable d'intervenir. Il l'a fait rentrer dans la maison et instinctivement je les ai suivi.

Son père : T'A PAS COMPRIS QUOI HEIN ? COMMENT TU PEUX ENCORE TE POINTER DEVANT MOI HEIN ? AVEC QUEL HONNEUR ? QUEL DIGNITÉ ?

Narymel : J'AI RIEN FAIT BABA, J'AI RIEN FAIT ! QU'ALLAH M'ENLÈVE LA VIE SI JE MENS IL M'A FORCÉ JE VOULAIS PAS JE VOULAIS PAS !

Elle était en larmes, son père l'a regardait et lui a mis une gifle, je me suis précipité vers elle pour l'éloigner de lui.

Moi : Ça suffit ! C'est votre fille ! Comment vous pouvez lui parler comme ça ?