Âmes reliés que dunya veut séparer.

44.

Avec toi l'ivresse n'a pas besoin d'alcool,
Avec toi un sourire suffit à me rendre folle,
Je suis si loins pourtant si près,
Dans mes rêves seulement je peux t'aimer,
Dunya trop risqué, nos âmes ensembles finiront brûler.
                                                                                  S.

Je me suis réveillé au milieu de la nuit, le banc était trop dur. Alors je suis resté à réfléchir pendant deux bonnes heures avant qu'on vienne m'ouvrir.

J'étais épuisé. Je voulais juste rentrer dormir mais je savais que c'était loin d'être fini...

Je suis arrivé dans le bureau du commissaire, j'ai trouvé Nahïl qui lui aussi était dans un état pitoyable.

Je me suis assise à côté de lui, il m'a regardé en essayant de sourire pour me rassurer mais je voyais bien la frustration dans son regard.

Le commissaire : Bon j'ai un peu le début de l'histoire mais j'attends votre version. Sachez juste que malheureusement pour l'instant tant que l'homme n'est pas réveillé vous êtes suspects et non victime.

Nahïl : Je sais bien.

Le commissaire : alors ont va vous séparer pour avoir vos deux versions et voir si elles sont similaires, je commence par le demoiselle vous pouvez sortir.

Il a hoché la tête puis m'a regardé une dernière fois me fessants comprendre de dire que c'était lui qu'il avait frappé puis il est sorti.

Le commissaire : je vous écoute.

Moi : Je suis sorti du restaurant à ma sœur hier dans les alentours de 23h, j'avais garé ma voiture un peu plus loin et sur le chemin je me sentais suivre puis arriver devant ma voiture un homme m'a attrapé le bras puis a essayer de prendre mes affaires mais comme j'ai résisté il m'a étranglé. C'est à ce moment que Nahïl est arrivé alors qu'il était vraiment à 2 doigts de me tuer. Ils ont commencé à ce battre puis...Nahïl a réussi à prendre cette planche de meubles et le frappé avec dans le seul but de se défendre. J'ai pas trop les détails de leurs altercations j'étais encore en état de choc désolé...

Le commissaire noté tous ce que je disais.

Lui : Et comment Nahïl a su qu'il vous arrivé un truc ?

Moi : j'en sais rien, ça m'a même moi surprise.

Lui : et l'homme il était dans son état normal ?

Moi : absolument pas, il avait les yeux très rouges et puer l'alcool. Je l'ai compris quand j'ai vu qu'il était plus concentré à vouloir me tuer qu'à prendre mes affaires qui était d'ailleurs à sa portée si il souhaité.

Il a hoché la tête.

Lui : Très bien merci madame, vous allez bien vous ? Pas en état de choc ? Nous pouvons prendre contact avec un psychologue.

Je lui ai sourit.

Moi : Non ça va aller merci beaucoup, je veux juste rentrer chez moi.

Lui : Je comprends, encore une petite demi heure et vous serez libéré. Je vous laisse attendre dehors.

J'ai hoché la tête et je suis sorti, Nahïl lui est rentré à son tour. Ont m' a passé toutes mes affaires et je me suis empressé d'appeler ma sœur. Elle était choqué, elle voulait venir mais je lui ai dit que j'avais ma voiture et que sa irai.

J'ai déranger personne d'autre vu l'heure. Après une demi heure Nahïl est sorti.

Le commissaire : Vous pouvez rentrer chez vous pour aujourd'hui. Mais n'allez nul part vous serez vite rappelé une fois la version de l'autre personne.