58. Fin

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"Sur rien d'autre que toi mon œil ne se repose :
Tu possèdes, je crois, le secret de l'aimant, Et mon œil glisse aux lieux où tu vas : il te suit Comme, en grammaire, on voit l'épithète et le nom."

...

Après quelques minutes de discussion il m'avait demandé d'aller s'asseoir pour vraiment parler, et s'expliquer. J'ai été incapable de refuser, j'avais moi même tellement de questions.

Ont c'est assis sur le canapé l'un en face de l'autre tandis que ma mère était dans la cuisine et que les portes restaient ouvertes pour éviter qu'ont soit isolés.

Nos regards ont fini par se croiser même si j'ai tous fait pour l'éviter. Et quand ses yeux ont trouvé les miens j'ai été incapable de les lâcher tant se regard me parler, il me regardait, il avait toute son attention concentré sur moi, tellement qu'il me donnait l'impression que j'étais le centre du monde.

Il c'est redressé et c'est assis correctement.

Nahïl : Si ont veut faire avancer les choses, ont a besoin de parler et de se dire tous ce que l'on a pas eu l'occasion de se dire.

Moi : Ont va se blesser.

Mon regard tenter de rester neutre, même si mon ventre se tordait et que mon cœur battait anormalement vite.

Parce qu'il se battait.

Il se battait pour nous, et se me retourner le cerveau.

Nahïl : Je serais pas blessé par ce que tu me dis, je veux juste que tu sois sincère et que tu me dises tous ce que t'a sur le coeur.

Moi : Toi aussi, soit le, j'en ai besoin.

Il a hoché la tête.

Moi : Je t'écoute.

Mes mains subissaient mon stresse, je claquais mes doigts, je tambourinais sur l'oreiller qui était sur mes jambes.

Lui : Je t'en ai voulu de m'avoir menti Kawtar W'Allah beaucoup voulu.

Je le regardai et je me suis enfoncé dans le canapé attendant la suite.

Lui : Et quand t'es venu me voir, chez moi, quand je venais d'apprendre la vérité, tu te rappelles ?

J'ai hoché la tête.

Lui : W'Allah que se jour j'ai cru que j'allais t'enfoncer dans le mur, tu criais que tu m'aimais, t'arrêtais pas de le répéter et je t'ai détester pour ça.

J'ai légèrement froncé les sourcils en sentant mes yeux s'embuait de larmes.

Lui : Et tu la répéter le jour où ont c'est vu devant le tribunal, tu la répéter le jour de la janaza de Narymel, le jour où t'es venu me voir au garage.

Moi : Et tu m'a tourné le dos à chaque fois, tu m'a négligé chaque fois que je te criait que je t'aimais et t'a même fini par partir complètement.

Nos regards étaient encrés l'un dans l'autre, j'avais l'impression qu'ont se défiai du regard.

Lui : Parce que je t'ai détester.

Âmes reliés que dunya veut séparer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant