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"Vie d'amour, vie d'avant, effort dans le vent ou illusion dans le fond. Je t'aime à l'Aznavour toi tu m'haie en retour, t'oublier j'ai voulu mais ton nom j'entends à chaque rue"
S.

J'ai donc gardé Ammerah pendant 2 bonnes heures. Mina était parti en Algérie plus tôt que prévu, alors je lui parler seulement en message et appel.

Je réfléchissais un peu à tous ça, j'étais allongé dans mon canapé et je me rendais compte que je savais vraiment plus où allait.

Je sais pas pourquoi je n'arrivais pas à m'imaginer un futur. J'étais vraiment perdu à ce moment et quand bien même j'étais entouré j'avais l'impression d'être complètement seule face à tous ça . Que personne comprendrai, comprendrai quoi ? Des peines de cœur sa arriver à tous le monde, et puis de toute manière c'est pas comme si ont avaient encore une chance lui et moi, qu'il me déteste ou qu'il m'aime ça changerai rien. Mais ça c'était ce que les autres pouvais penser. Moi c'était tous autre chose.

Personne arriverai à comprendre ça, ce mal de coeur que je ressentais jusqu'à m'en donner des nausées. Cette peur et cette angoisse l'imaginant me détester. Je l'avais trahis. Et ça c'était pas possible entre nous, ont laissé les autres nous trahir et ont se relevé à deux mais jamais ont devait se trahir mutuellement.

Je l'ai appelé plusieurs fois encore mais il ne m'a pas répondu..

Quelques heures plus tard Narymel et rentré. Elle avait l'air exténuée, c'est yeux était rouge à force de pleurer. Elle est directement venu s'écrouler sur le canapé.

Moi : Ça va ?

Elle a juste hoché la tête négativement.

Après la voir bien regardé, j'ai vu une trace rouge sur sa joue. On l'avait frappé...

J'ai allongé Ammerah dans son cozy et je suis parti m'asseoir à côté d'elle.

Moi : Qui t'a fait ça ?

Elle : Mon père.

Moi : Tu veux pas en parler ?

Elle a relevé son regard vers moi.

Elle : Parler de quoi ? J'ai plus de famille c'est tous. Plus de mère ni père ni rien.

J'ai passé ma main dans ses cheveux.

Moi : Ils ont rien voulu entendre ? Tu leur a dit ?

Elle a hoché la tête positivement.

Elle : Il m'ont pas cru bien sûr.

Moi : Même ta mère ?

Elle : Même elle. S'il te plaît Kawtar je veux pas en parler..

J'ai hoché la tête et je me suis levé.

Moi : Tu veux manger quelques choses ?

Elle : Nan merci.

Moi : Faut que tu manges un peu comme même, juste un peu.

Je suis parti lui faire une assiette et je suis revenu. Elle a essayé de manger un peu. Ont étaient plongés dans un silence. Elle était au bord des larmes je le voyais bien.

Quelques minutes après ça a toquer à la porte.

Narymel : Ça doit être le père à Nahïl, il m'a appelé tous à l'heure.

Moi : Je vais voir.

J'ai mis mon voile et je suis parti ouvrir et c'était bien lui.

Moi : Salem Alaykoum.

Lui : Alaykoum Salem.

Moi : mrahba rentre !

Il est  rentrés puis je l'ai est accompagné au salon. Il a dit bonjour à Narymel puis c'est  assis.

Âmes reliés que dunya veut séparer.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant