Chapitre 26 - L'appel aux médias

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Je pensais avoir plus de mal a mettre en place ce chapitre mais finalement, j'ai eu pas trop de mal a l'écrire. Il est plus court prévu, parce que je me suis dit que j'allais créer un peu de suspens, va falloir attendre pour la suite, peut-être arrivera t-elle Dimanche mais rien n'est sur. Je m'excuse pour les éventuelles fautes.


Mardi 18 février 2014

PDV Clay

Les jours ont passé, les semaines, ça fait actuellement, un mois que Danny a disparu et mes recherches n'ont rien donné. J'ai passé des heures et des heures sur internet, je l'ai cherché partout, aucune trace de lui si ce n'est sur le site de son université. Je suis même allé sur un site judiciaire ou en tapant les noms prénoms de la personne tous ses démêlés avec la justice apparaissent mais là encore rien. J'ai parlé à tous les élèves de sa classe, a ses professeurs, au recteur mais je suis reparti bredouille. J'ai aussi voulu obtenir son acte de naissance pour avoir le nom de ses parents et pouvoir en apprendre plus sur sa vie passé, mais la femme a refusé de me le donner parce-que je n'étais ni policier, ni membre de sa famille. Et les flics...n'en parlons pas j'ai l'impression qu'ils se foutent de ma gueule. En venant voir ou en étaient leur investigations aujourd'hui, j'ai découvert qu'ils n'ont toujours pas diffusé aux yeux de la population, le portrait-robot du fou furieux. Soi-disant que ça pourrait faire fuir l'homme en question ou le pousser à changer d'apparence physique et le rendre encore plus difficile à localiser. Excédé j'ai décidé de me débrouiller par mes propres moyens. J'ai décroché le portrait-robot, fixé à un de leur tableau en liège ou figure toutes les personnes recherché, et je suis parti avec. J'ai d'ailleurs été étonné qu'aucun flic ne cherche à me suivre et je suis arrivé sans problème dans les locaux d'un des journaux, le plus populaires de la ville.

J'y suis actuellement et je demande sans relâche à voir immédiatement le rédacteur en chef du journal. Enfin je l'exige. Ce qui ne plait pas du tout aux journalistes présent et deux armoires à glace cherchent à me faire sortir. Je ne me laisse passe faire et beugle comme un taré quitte à passer pour un hystérique. Je réussis néanmoins à faire sortir le grand patron de son bureau alerté par l'esclandre que je produis. Il m'ordonne de me calmer et de m'expliquer calmement sinon il fait venir les forces de l'ordre. Je prends donc sur moi et les gorilles me relâchent. Je commence donc à expliquer la raison de ma venue. Je raconte, que je suis détective privé et qu'une personne de mon entourage a disparu, qu'il semblerait qu'un malade soit à ses trousses et que la justice refuse de m'aider.

- Très bien, suivez-moi dans mon bureau, vous avez dix minutes pour m'exposer votre histoire, s'il elle m'intéresse je ferais un article.

Je suis l'homme dans son bureau et il me fait assoir en face de lui.

- Bon expliquez-moi un peu plus en détails votre histoire.

Je lui raconte alors tout depuis le début en essayant d'être le plus clair possible puis il me dit à la fin de mon récit.

- Très bien et qu'attendez-vous de moi?

- Je voudrais que vous fassiez un article, en publiant, le portrait-robot de l'homme en question ainsi qu'une photo de Danny, lancer un appel à témoin, pour récolter des informations sur eux et faire avancer les recherches.

- C'est dans mes cordes, votre histoire m'intéresse, mais vous vous doutez bien, que ce ne sera pas gratuit.

- Quel que soit votre prix, je paierais.

Il allait poursuivre la discussion quand des coups frappent à la porte de son bureau.

- Entrez, lance -t-il

Empoisonné par CupidonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant