PDV Clay
Lemon!
( si jamais vous voyez le chapitre deux fois c'est un bug du site)
Assis sur ses cuisses, juste en dessous de son fessier, je pose mes mains de part et d'autre de ses hanches. Lentement je remonte le tissu blanc le recouvrant et mes lèvres retracent sa colonne en petits bisous. Alors que j'arrive à ses omoplates, il lève les bras pour m'aider à faire passer la chemise au-dessus de sa tête. Désormais nu sous moi, je laisse mes yeux parcourir son corps avec gourmandise. M'allongeant de tout mon poids sur lui, je rejoins sa bouche rougeoyante alors qu'il tourne la tête. Nous nous embrassons tendrement, avant que nos langues se cherchent et deviennent sensuelles éveillant le désir dans nos bas-ventres. Ma bouche quittant la sienne pour respirer, j'embrasse sa joue droite me faufilant vers son oreille et lui murmure au creux de celle-ci.
- J'aime tellement ton corps, ta peau est si douce, si belle, si pure, que j'ai l'impression d'à chaque fois, te faire l'amour pour la première fois, de te prendre ton innocence.
- Moi aussi j'aime ton corps chéri, mais à ce moment précis ce que je préfère, c'est ce que tu caches dans ton pantalon.
- Tu ne penses qu'à ça coquin...
- C'est pas de ma faute aussi, je ne sens que ça, t'a qu'à pas être aussi bien monté, bel apollon.
- Flatteur répondais-je avant de mordre du bout des dents le lobe de son oreille.
Il pousse un soupir presque inaudible et je poursuis mon chemin, mordillant, glissant ma langue et m'appliquant à lui faire un joli suçon dans la nuque. Mes bras reposant sur les siens, j'entrelace nos doigts entre eux. J'explore à présent, les courbes de ses épaules créant un tracé de baiser, tandis que mon bassin encore enfermé dans mon jean, se frotte contre son fessier. Mon visage relativement proche de ses lèvres, j'entends sa respiration s'accélérer et je le vois infliger de nombreux pincement à sa lippe inférieure. Séparant nos mains et me redressant sur les genoux, entre ses jambes, je déboutonne mon pantalon, descend ma braguette, et retire lentement l'intégralité de mes vêtements. Le regard fiévreux, Danny tourne la tête, me dévorant des yeux. Tel un félin, je remonte vers lui, ma bouche regagnant la sienne et mon membre reposant sur son beau derrière, à la fois moelleux et ferme. Parfait. Alors que je frictionne à nouveau nos corps l'un contre l'autre et que j'embrasse avec appétit, son cou, ses joues ses lèvres, je sens ses mains venir empoigner mes cuisses pour me plaquer encore plus contre lui.
- Et c'est moi qui suis pressé chaton lui soufflais-je
- Je te veux chéri...viens s'il te plait supplie-t-il gémissant alors que je ne cesse de me frotter contre lui.
- Non, j'aime te faire languir, voir ton corps se tortiller sous moi
- Je t'en prie...j'en peux plus...
- C'est pas vrai, je vais te montrer ce qu'est être à bout et la Babe, tu me réclameras a corps et à cris.
Me relevant légèrement, je tends le bras pour attraper le lubrifiant sur la table de nuit et laisse couler quelques gouttes sur mes doigts de la main droite. Descendant de son postérieur rebondi à souhait, je m'assois à nouveau sur ses cuisses. Saisissant à pleine main, sa fesse gauche, je la masse tendrement et la sépare de sa jumelle pour entrevoir son antre. J'approche mon pouce droit de la zone intime et me pose dessus effectuant un mouvement circulaire tirant des plaintes au jeune homme frustré qui en désire toujours plus. Décidant des céder à ses envies, je laisse pénétrer mon majeur en lui. Un grognement me parvient aussitôt et j'entame les vas et viens. Il ne cesse de gémir, me regardant, la bouche tantôt ouverte, tantôt mordu sous l'emprise du plaisir irradiant son corps. Le sentant s'ouvrir peu à peu à moi, je rajoute mon index et réitère les mêmes gestes. Gémissant, il ne peut s'empêcher de creuser le dos et inévitablement, relever son joli petit cul. Cette vue alléchante ne manque pas de faire tressaillir mon membre érigé qui commence à se faire douloureux. Alors que je le pénètre de mes doigts avec frénésie, de ma main gauche, je commence à me caresser. Je geins en chœurs avec lui, ma main me faisant un bien libérateur mais c'est loin d'être assez. Me retirant de Danny qui râle parce-que je ne le touche plus, j'enduis ma longueur de gel et me positionne entre ses jambes, sur les genoux, à hauteur de son intimité prête à m'accueillir. Mais je n'entre pas en lui, au lieu de ça, je dépose de petits baisers dans le bas de son dos. Mes mains glissent ensuite sur ses flancs avant d'atteindre son ventre et je le redresse le plaquant contre mon torse. Je le maintien d'une main, tandis que l'autre conduit ma virilité contre son ouverture. Je presse contre celle-ci tandis que je chatouille de ma langue le creux de son oreille droite. Il grogne d'impatience, et j'accentue son attente, prenant bien le temps de retarder ce qu'il veut. Mon bras gauche toujours enlacé autour de son buste, je le soutiens alors que ma main droite, elle, glisse sur son aine, sa hanche et enfin vient s'enrouler autour de son organe tendu. J'en touche l'extrémité et la tête basculant contre mon épaule, il m'offre un gémissement des plus sensuels.
- Tu me veux chaton...soufflais-je d'une voix suave
Il me répond par une plainte suppliante tandis que je joue avec son sommet rosé le taquinant. Satisfait de sa réaction et de la tension qui l'habite, je le rallonge sur le lit son fessier relevé et son haut du corps collé au matelas, je présente ma virilité a son entrée. D'une poussée, je m'insère complétement en lui et ses doigts ainsi que ses dents se referment sur l'oreiller alors qu'il étouffe un cri de plaisir. Je cesse tout mouvement me penchant sur lui, l'embrassant entre les omoplates et lui susurre.
- Tu vois Babe, la tu es à bout et ivre de moi.
- Mmmm...Chéri...s'il te plait...entendais-je faiblement.
Une main tenant son épaule et l'autre caressant son engin, j'enclenche une nouvelle poussée, obtenant un nouveau cri. Je recommence encore et encore, allant et venant en lui, serré à la perfection, soupirant fortement à chaque déhanchement. Le plaisir grandissant à chaque seconde, ma vitesse s'accélère elle aussi, et je bute tout en puissance et en tendresse contre lui. Il suffoque, gémis, se mord la lèvre inférieure et un couinement me parvient lors d'un énième coup de rein. J'ai cogné contre son point sensible et il s'est complétement étalé sur le lit, "écrasant" ma main tenant son membre et émettant ce son si particulier qui m'indique, qu'il est très proche de l'extase. Je m'étends sur lui et vient entrelacer mes doigts dans les siens. J'accède à sa bouche pour un langoureux et passionné baiser en reprenant lentement mes allées-venues. Rapidement nos soupirs haletant se mêlent à nouveau entre eux, et l'incendie dans nos bas-ventres s'enflamme, bouillonnant. Nous sentant, tous deux sur le point de craquer, je viens plus furieusement heurter son point sensible, une fois, deux fois, trois fois. Ses cris redoublant d'intensité, je détache ma main droite de la sienne et vient saisir son membre, le pouce sur la terminaison pour le retenir au maximum et lui donner un orgasme des plus vigoureux. Le mien approchant, je le laisse m'emporter peu à peu, et le moment fatidique arrive. Dan envahi par le plaisir m'attrape par la nuque de la main droite et agrippe ses doigts dans mes cheveux. Je donne un dernier coup de bassin, et lâche petit Danny, accueillant sa jouissance au creux de ma main, alors que je rugis longuement me libérant au même moment.
Essoufflé, on attend que notre respiration se calme puis je finis par dire:
- Je suis pardonné?
- Je devais te pardonner? C'est bizarre j'en ai aucun souvenir.
- Tu es vraiment adorable de ne pas m'en vouloir, j'ai été exécrable avec toi.
- C'est rien, on oublie. Ce salop de Terrence avait bien monté son plan, moi aussi j'y aurais cru. L'important c'est que ça nous ait pas séparés et qu'on est à nouveau ensemble.
- Oui tu as raison mais je m'excuse quand même.
- Je les accepte.
Un grondement sonore s'échappe de mon ventre et mon chéri se met à rire.
- Après l'amour Clay Anderson a toujours un petit creux.
- Mmm mais je te signale tout de même qu'on a rien mangé ce soir et qu'on est directement passé au dessert, la faute à un petit malin qui m'envoi des textos coquin...
- A peine coquin, je suis capable de bien plus...
- Ah oui j'aimerais bien voir ça dis-je l'embrassant dans le cou.
- Je prends note...Bon et si on filait sous la douche et qu'on commandait un truc à manger après?
- Très bonne idée.
Nous levant l'un après l'autre, on se dirige vers la salle de bain, puis tout propre, nous nous installons au canapé après avoir commandé des spécialités vietnamiennes. Elles finissent par arriver et nous décidons d'aller prendre dans notre repas à la chambre devant un bon film. Les estomacs remplis et la fatigue nous gagnant, on finit par s'endormir l'un contre l'autre.
VOUS LISEZ
Empoisonné par Cupidon
RomanceClay Anderson, séducteur et dragueur invétéré, proche de la quarantaine, ne s'imagine pas sa vie autrement qu'en étant libre. Vie a deux, couple et fidélité ne font pas parti de son vocabulaire. Il aime croquer la vie a pleine dents et pas que, char...