Lili 39

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Je file dans les loges pour aider April à se laver.

- Alors comment tu as trouvé ?

- J'ai adorée, bon le personnel de nettoyage vont te maudire, dis-je en riant.

- C'est la vie en même temps, elle doit voir bien pire.

Je lève les épaules, April, entre dans la douche et me donne le pommeau de douche alors qu'elle prend l'éponge. Elle commence à enlever la peinture sur son corps.

- Tu vas mieux ?

- Je sais pas, en tout cas, j'espère que le message est passé, on est un couple est les décisions, c'est à deux.

- J'ai compris.

Je tourne la tête sur Elijah.

- Bon, je pense que je vais aller voir si on a pas besoin de moi, tu prends ma place.

Elijah me sourit et je laisse les deux amoureux. Quand je sors des loge je me fais plaquer contre le mur.

- Lili, tu m'évites.

Oh, cette voix, elle est si sensuelle.

- Un peu, peut-être.

Sa bouche commence à dévorer mon cou.

- Je crois qu'on doit parler alors.

Ah bah oui, je dis oui à tout avec ta bouche magique.

- Hum.

- Bien,

Je me retrouve la tête à l'envers.

- J'aurais pu marcher aussi.

- Oui, mais ça va plus vite.

Je me retrouve posé sur le bureau, face à Pitt qui prend place sur son fauteuils.

- Pourquoi tu m'évites ?

- Je veux pas souffrir.

- Je vois, et qui te dit que je vais te faire souffrir ?

- On fait un question, réponse ?

- Lili ?

- Pitt, j'ai un bagage plutôt lourd, deux chipies, une vie compliquée à me cacher, toi, tu es sexy, avec une horde des chatte en chaleure a ton cul. Je sais pas ce que tu veux, et pour finir, tu me fais peur.

- Je te fais peur ?

- Oui, ce que tu me fais ressentir me fait peur.

- Ah,... Apprend à me connaître, tu verras que je suis un mec plutôt cool. Et la horde de nanas, je m'en tape, je baise quand je suis pas posé, mais si j'ai une femme dans ma vie, je suis fidèle.

- Il a pas que ça, tu sais que ci, on me reconnait, je pourrais attirer l'attention sur vous.

- Et, tu fais partie de notre famille, Lili, toi est tes deux princesses vous êtes des nôtre donc quoi qui se passe on vous protègera moi le premier.

Il me tire sur ses genoux ce qui me fait me retrouvait à califourchon.

- Tu me plais depuis le premier jour où tu m'as renvoyé, chier, j'adore tes filles, et je pense qu'elle m'aime bien aussi, ma vie se résume au club est a ici, c'est mon bébé, je l'ai monté tout seul et j'en suis fière, ma famille, tu la connais, ma mère et mes sœurs son taré et mon père est un saint de les supporter. Dans mon avenir, je voudrais avoir une femme qui soit à mes côte, fonder une famille, je vais la quarantaine est les baises ça va quand ta vingt piges. Et toi que veux-tu pour ton avenir, il aurait une place pour moi.

The sons of SatanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant