Rachel 49

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Quand je sors de la douche, je m'enroule dans une serviette. J'ouvre l'armoire ou il n'a que des étagère avec les noms des amis Ezio. Je prends un short à Alba et un tee-shirt a Ezio. Des petits coups a la porte de la chambre et la tête Ezio apprêt.

- Je peux ?

- Oui, j'ai fini.

Ezio, entre et commence a se déshabille, il reste en boxer et entre dans le lit.

- Tu viens ?

Je souris et me précipite dans le lit, Ezio m'ouvre la couette.

Ezio, me prit dans les bras et éteint la lumière. Ma tête sur son torse, sa main caressant mes cheveux.

- Rachel, ton père t'a-t-il frappé ?

- Pas vraiment, je suis suis pas d'accord avec lui ou que j'ai une mauvaise note, il me gifle, disant que je ne suis qu'une saute, bête comme ma mère.

- Je vois,

- Ezio, je suis désolé d'être tomber enceinte... Je vais gâcher tes projet.

Ezio me fit venir sur lui.

- Pour commencer, tu n'as rien gâché, j'ai prévus d'aller a la fac du coin. Après, c'est à moi de te demander pardon, j'avais compris que tu ne connaisses rien à la sexualité, et c'est moi qui ai merdé... Bébé, je n'ai pas mis de préservatif.

Je fronce les sourcil, et comprends, je ne connais rien à tout ça, mais je sais les base. Préservatif égale pas de bébé, du moins, moins de risque.

Ezio embrasse mon cou.

- Je suis désolé, mais, je suis sérieux, je veux être avec toi.

Je retourne a ma place et Ezio vient sur moi.

- J'ai peur des problèmes que je vais te causer.

- Bébé, tu sais, ton père ne me fait pas peur. Ce qu'il ne sait pas, c'est que ma famille a fait partie des gens qui on construit cette ville, on possède la moitié des commerces. Mon grand-père a juste voulu une autre vie, mais il était conscient qu'il aurait besoin de tune pour le club, alors il a commencé petit à petit à mettre des commerce en place. Le shérif et mon grand cousin, le maire marche avec nous. Il ne pourra rien faire.

Ezio, caresse mon visage, et m'embrasse, je sens son sexe durcir.

Il finit par poser son front sur le mienne et il respire fort.

- On va dormir, il vaut mieux.

- Je,.. La sent.

- Hum, ouais, j'ai très envie de toi,

Ezio, répand sa place et me prend dans ses bras.

- Je comprends pas ?... J'ai faits qu'elle que choses de mal ?

- Non, pourquoi tu dis ça ?

- Mon père m'a expliqué que l'homme avec qui tu as des enfants, tu dois le combler... Et le désir en fait partie. Non ?

-... Putain, je te jure que je vais le buter ton vieux, Bébé, tu n'as pas à combler mon désir. Et surtout quand tu en as pas envie. Tu es fatigué, et on va aller doucement, ok ?

- D'accord, je suis nul,

Ezio, allume la lumière et s'assoit.

- Rachel, je ne veux plus entendre te dénigrer, tu n'es pas nul, on t'a mis dans une bulle à la con, et fait de sorte que tu en saches le moins possible. T'en que tu seras avec moi, je veux que tu fasse ce qu'il te plait, que tu vois la jeune femme, belle et intelligente que je vois.

The sons of SatanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant