April & Elijah 12

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On me met une cagoule sur la tête moi qui ai claustrophobe je panique pas du tout. Je ferme les yeux, respire doucement et profondément, ce qui n'arrange pas, c'est que leur cagoule pu la mort.

On roule pas très longtemps, le fourgon se stoppe et les portes claque. Des voix viennent à mes oreilles, mais je ne comprend pas ce qui est dit. La porte s'ouvre et on me tire le bras je me retrouve sur une épaule et la cagoule tombe au sol.

- Tu es légère comme une plume,

Ce con me fout une claque sur le cul.

- Rick ferme la et ne touche pas à la marchandise, le prez va pas être content

Je vais pour les insulter, mais je me retrouve de nouveau sur mes pieds.

Je regarde autour de moi, on est dans un hangar je dirai, on me fait m'asseoir sur une chaises et mes bras sont attacher aux accoudoirs.

- Soit sage, le bosse arrive, il est en grande conversation avec ton mec. Me dit celui qui a l'air mon con.

- Et vous avez pensé que d'enlever la régulière d'un président est très intelligent.

- Ma petite chérie, il y a encore quelque jours, ton soi-disent mec se fessait sucé par une des brebis.

Je grimace, je n'ai pas envie de savoir ça.

- Et alors ?

- Me prend pas pour un con, tu es peut-être la sœur du VP mais je doute que la régulière du président d'un des plus gros clubs de l'état soit une pute qui montre son cul.

- Je ne suis pas une pute mais danseuses, ignare !

Je me prends une droite, je vois des points noirs devant mes yeux et un sifflement dans mon oreille droite.

- Putain Rick tu fais chier, regard sa tête.

- Quoi, elle me gonfle cette pute, elle m'a fait courir pendent trois semaines en pensent que j'aller pouvoir m'amusé un peu et on me dit que pour le moment, je peux pas la baiser, je peux m'amuser autrement, c'est bon.

- Pauvre con, tu n'es pas à la hauteur, je murmure.

Mais il a dû entendre car je me prends un nouveau coup, une baffe cette fois.

- Tu veux jouer pétasse attend, on va jouer tout les deux me murmure-t-il a l'oreille.

Les deux hommes me laissent et je respire de nouveau, putain, je peux pas fermer ma gueule.

Mon répit fut de croute durée car un troisièmes hommes entre dans mon champ de vision. Je vois président sur son pach ma liberté est-elle proche ou bien ma mort ?

- Ou, je vois que Rick a eu la main lourde, alors ton mec à un marché en les mains, on verra ci, il tient à toi...

- Je ne dirais rien, pourquoi vous me relâchez pas, mon copain et mon frère son comme vous, je vais pas aller voir les flics et risqué qu'ils ont des problèmes eu aussi.

- Car tu vas me servir et je suis sûr que tu n'es pas une régulière alors, on va jouer.

Il me regarde et je sens que ça va mal tourner, je vais passer un sale, car d'heure.

Il sort un cran d'arrêt, la lame apparut devant mes yeux, elle descend sur short, et d'un coup sec le tissu léger sépare de mon corps, mon débardeur suis le même chemin.

- Hum, j'aime beaucoup, on va trouver de quoi jouer un peu, j'arrive.

Il me laisse et je me reteins de pas pleurer, je ne veux pas lui donner ce plaisir. Ma tête me fait de plus en plus mal depuis que l'autre con m'a mis une droite. Je ferme les yeux juste pour un instant.

The sons of SatanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant