PIERCE THE VEIL

22. Passion Interrompue

☆WARNING☆

Attention, ce chapitre contient des scènes érotique. Si vous êtes sensible à ce genre de contenu, je vous recommande de ne pas poursuivre la lecture.

Andreï:

Cette fois, j'enlève sa culotte et la fais glisser le long de ses cuisses. J'admire ses lèvres incroyables et souris légèrement. Je reprends les caresses, mais cette fois directement sur sa peau. Elle bascule la tête en arrière, respirant plus fort et plus vite qu'avant. Pourtant, je ne suis toujours pas sûr.

— Tu es sûr ?

Elle relève la tête et me regarde avec envie.

— Putain, oui !

Sans attendre, j'introduis un doigt en elle. Sa réaction est rapide. Je fais des va-et-vient, puis j'ajoute un autre doigt. Désormais, deux de mes doigts sont en elle. Une question me traverse alors l'esprit.

— Tu es vierge ?

Gênée, elle détourne le regard, mais finit par me fixer à nouveau.

— Oui...

Mes yeux s'illuminent de désir. Elle va clairement être mienne.

Je retire mes doigts et lui demande :

— Il y a un endroit que tu aimes plus que tout au monde ?

Elle me regarde, un peu confuse, mais répond :

— Bah, j'aime beaucoup la forêt. Pourquoi ?

Je souris bêtement, ce qu'elle remarque. Si la forêt est son endroit préféré, alors elle devrait vivre sa première fois dans un environnement qu'elle aime.

— Lève-toi et suis-moi.

Elle se lève sans poser de questions. Je me lève aussi, et je la vois attraper sa culotte, mais je l'arrête.

— Pas besoin.

Elle me regarde, toujours perplexe, mais finit par me suivre en laissant tomber sa culotte. Nous rejoignons la voiture et prenons place. Je pars en direction d'une forêt un peu plus loin, espérant que personne ne puisse nous trouver. Le trajet dure environ 30 minutes.

Je roule en silence, l'excitation et l'anticipation flottant dans l'air. Chaque minute qui passe renforce la tension entre nous. Je lui jette des coups d'œil de temps en temps, captant dans son regard un mélange d'attente et de curiosité. La forêt se rapproche, ses contours sombres et mystérieux se dessinant à l'horizon.

Enfin, j'aperçois un chemin de terre qui s'enfonce entre les arbres. Je ralentis, puis tourne sur ce sentier isolé, la voiture cahotant légèrement sur le sol irrégulier. La lumière du jour faiblit sous le couvert des arbres, créant une atmosphère intime et secrète.

Je trouve un petit espace dégagé et gare la voiture. Le moteur s'arrête, laissant place au silence, uniquement troublé par le bruissement des feuilles et le chant lointain des oiseaux. Je me tourne vers elle, nos regards se croisent à nouveau, et une tension électrique traverse l'air.

— On est arrivés, dis-je doucement.

Elle hoche la tête, les yeux brillant de désir mêlé d'un brin d'appréhension.
Je lui demande.

— T'es toujours prête ?

Elle me regarde, mais cette fois-ci, elle est en colère.

— Oui, depuis tout à l'heure, je te dis oui !

— Sors de la voiture et va à l'arrière, dis-je.

Sans hésiter, elle obéit.

Nous sommes maintenant à l'arrière de la voiture. Sans un mot, je m'attaque à elle, la saisissant par les hanches pour la ramener au-dessus de moi.