33. Mой котик

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☆WARNING☆

Attention, ce chapitre contient des scènes érotique. Si vous êtes sensible à ce genre de contenu, je vous recommande de ne pas poursuivre la lecture.

Andreï:

Elle me regarde avec un sourire audacieux, ses yeux brillant d'une excitation malicieuse. Elle semble savourer le pouvoir qu'elle a sur moi en ce moment, consciente de l'effet qu'elle provoque. Elle se penche un peu plus près, sa poitrine frôlant mon torse, et je sens chaque fibre de mon être crier à l'intérieur.

— Andreï, murmure-t-elle, sa voix douce et envoûtante. J'ai envie de toi... et je sais que tu en as envie aussi.

Ses lèvres s'approchent dangereusement des miennes, son souffle chaud caressant ma peau. Je ferme les yeux un instant, essayant de reprendre le contrôle de mes pensées. Mon corps réagit instinctivement à sa proximité, à la douceur de ses mots, et je sens mon cœur battre furieusement dans ma poitrine.

Elle glisse ses mains sur mes épaules, traçant lentement la ligne de mes muscles avant de les passer autour de mon cou. Son toucher est léger, mais en même temps, il m'embrase. Elle presse son corps contre le mien, et je sens ses courbes se mouler parfaitement à moi. C'est comme si chaque barrière entre nous s'effondrait.

— Tu n'as pas besoin de résister, murmure-t-elle, sa voix basse et sensuelle.

Je rouvre les yeux, croisant son regard intense. Ses pupilles sont dilatées, pleines de désir. C'est un combat intérieur, entre tentation et retenue. Je sais que je devrais l'arrêter, lui dire de se rhabiller et de reprendre ses esprits, mais la façon dont elle me regarde... c'est difficile de résister.

Je glisse mes mains sur ses hanches, fermement mais avec douceur, essayant de maintenir une certaine distance. Pourtant, je ne peux pas m'empêcher de sentir sa peau sous mes doigts, douce et chaude.

— Sheyla... dis-je, ma voix rauque, pleine de désir et de tension. Ce n'est pas le moment... tu es sous l'effet de l'alcool, et je ne veux pas que tu fasses quelque chose que tu pourrais regretter.

Elle sourit, une lueur espiègle dans les yeux, et rapproche son visage du mien, ses lèvres frôlant presque les miennes.

— Et si je te disais que je ne regretterais rien ? murmure-t-elle, son souffle chaud sur mes lèvres.

Je respire profondément, le combat en moi atteignant son paroxysme. Mon désir de la sentir encore plus proche, de répondre à cette tension brûlante entre nous, est presque écrasant. Mais je sais que je dois être fort, pour elle, pour nous.

Doucement, je caresse son dos, la tenant contre moi, tout en cherchant à apaiser l'intensité de ce moment.

— On ne peut pas, Sheyla... pas comme ça, chuchote-je, mon front contre le sien, les yeux fermés pour ne pas céder à la tentation.

Elle reste silencieuse un instant, puis se détend lentement contre moi, sa respiration se calmant. Elle appuie sa tête contre mon épaule, et je la serre doucement, lui offrant un réconfort silencieux.

— D'accord... murmure-t-elle finalement, sa voix adoucie par une pointe de résignation.

Je relâche un souffle que je ne savais pas retenir, soulagé qu'elle ait compris, même si l'envie de céder à ce moment reste présente. Nous restons ainsi, enlacés, dans le silence apaisant de la forêt, chacun reprenant peu à peu ses esprits.

— Bon, installe-toi, allez, et remets ta robe, dis-je doucement, tentant de garder ma voix ferme mais bienveillante.

Elle me regarde un instant, et je vois une vague de tristesse traverser ses yeux. Elle ne dit rien, mais je sens sa déception. Lentement, elle s'écarte de moi, glissant de mes genoux pour retourner sur son siège. Elle attrape sa robe qui était tombée à côté et l'enfile doucement, ses gestes devenant plus lents, presque hésitants.

PIERCE THE VEILOù les histoires vivent. Découvrez maintenant