Les Meutes d'Argent: De Feu et de Glace - Tome 2 [En cours ]

100 - Cauchemars lupins

L'Aquila, le jeudi, sept semaines après les événements dans le Quartier des Loups Blancs.

Boris, Villa de Hermann, Meute des Loups Noirs, 22:30.

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Ce soir, je me suis couché tôt, je suis épuisé par mon dressage. Je dois être reposé pour être prêt à endurer les prochaines épreuves. Il en va de ma vie.

Pourtant, je n'arrive pas à fermer l'œil.

Depuis quelques temps, je crois que je perds la tête, tout s'embrouille. La nuit, je rêve d'Eclaireurs Lupins, d'un bar, « Le Maurizio », d'un inspecteur de la Police Lupine super sexy qui baise avec un jeune journaliste, lui aussi très sexy. Tous les trois, nous nous embrassons aussi, comme si nous étions un peu comme un trouple. Pourtant, je suis sûr que j'ai toujours été un esclave au service de la Meute Zed.

Puis, lorsque je me réveille en sursaut, surpris dans mon sommeil par le plaisir, je n'arrive plus à me rendormir.

Pendant mes nuits d'insomnies, je ne peux pas m'empêcher de songer aussi aux quelques jours jours qui viennent de passer, depuis mon arrivée chez mon nouveau Maître, Maître Hermann, l'Alpha des Loups Noirs. Et lorsque le petit matin arrive, je suis épuisé.

D'autant plus que, depuis le début de mon dressage, Maître Hermann n'a jamais cessé mon entraînement. Son but est d'élargir mon trou, toujours plus, afin que mon cul puisse accueillir des queues toujours plus imposantes. Pour cela, il a instauré une routine immuable:

Je me lève le matin à neuf heures, je me fais un lavement, et je me mets à quatre pattes devant la porte de ma cellule pour dix heures précises.

Maître Hermann vérifie la propreté de mon trou, puis il me traîne dans la salle de torture (par les cheveux ou les couilles, selon son humeur).

Il me donne quelques coups de martinet, de cravache, ou de canne, toujours selon son humeur. Je ne sais jamais à quoi m'attendre.

Ce n'est qu'ensuite qu'il m'attache, pour m'enculer à chaque fois plus sauvagement. Il m'insulte entre les coups de queue, tandis que je l'en remercie, pour le flatter, Je lui demande même d'y aller encore plus fort. Ce n'est pas que j'aime ça, c'est que sinon les coups pleuvent encore plus.

J'ai très mal partout, et surtout à mon cul, mais je dois faire plaisir à mon maître. Il faut souffrir pour être un bon esclave. Et, un bon esclave est un esclave vivant.

Après la sodo, je suce mon Maître et je bois son sperme, qui est si bon, enfin, c'est ce que je lui fais croire.

Puis, vient la machine à gode. Mon Maître la laisse en route un moment. Lorsqu'il remet du lubrifiant, il en profite pour me donner des coups de cravache un peu partout sur mon corps. Là aussi, je ne sais jamais où et quand les prochains coups vont claquer. Il est très fier de sa perversité.

À partir du troisième jour d'entraînement, Maître Hermann a enfin semblé satisfait de mes progrès.

Il a commencé à prendre des photos pendant une bonne partie de la séance. Il m'a dit qu'il les envoyait à ses hommes pour proposer mon cul à l'un d'entre eux. Plusieurs d'entre eux seraient déjà intéressés, mais, selon mon Maître, je dois encore faire des progrès.

L'après-midi, je fais le ménage avec le plug dans le cul. Sauf le deuxième jour, où mon Maître l'a retiré de mon cul d'un coup sec, et  me l'a enfoncé dans la bouche, avant de me plaquer contre la table de la cuisine et de m'enculer pour la deuxième fois dans la journée.

Avec le plug qui m'emplissait la bouche jusqu'au fond de la gorge, je suffoquais et je m'étouffais. Il m'a dit que cela m'entraînait à me faire baiser pendant avec une grosse queue en fond de gorge.