La directrice nous faisait des scandales sur notre tenue, mais elle, elle n'est pas mieux. Elle bave et ne se tient même pas droit. Elle ne sait que critiquer les autres personnes et ne se regarde même pas. Je préviens mes amis et regardent à leur tour. Ils se moquent tous d'elle et disent ce que je viens de penser. Bryan regarde aussi et me demande si c'est vraiment notre directrice, car il n'en revient pas qu'elle soit comme cela. Tous les élèves de la cantine nous voient regarder par la fenêtre, alors à leur tour ils viennent regarder.Il y en a plusieurs qui sortent leur portable et prennent des photos de la directrice. Un surveillant voyant cela, décide de sortir pour aller lui parler. Il s'approche d'elle tout doucement en se penchant en avant pour voir sa tête :
- Mme Martoneau ?Est-ce que vous vous sentez bien ? Dit-il en approchant son bras vers son épaule du peu que j'ai pu entendre.
Mme Martoneau le regarde dans les yeux, et ensuite, regarde le bras du surveillant. De ses deux mains, elle saisit son bras et s'approche de son visage.Le surveillant nerveux, essaye de la repousser d'une main tremblante mais c'est peine perdue. La femme s'approche un peu plus de lui et le mord, elle lui arrache la peau. Du bras du surveillant, coule un liquide rouge et quelques gouttes colorent le sol. Le surveillant la repousse violemment et en se retournant trop vite, il tombe en s'étalant au sol. Il tente de se relever mais à peine commence t'il à se remettre debout, que la directrice se jette sur lui en le plaquant de nouveau sur le bitume. L'un des cuisiniers sort à toute allure et nous le suivons tous du regard. Il accourt vers la directrice et la tire vers lui. Il essaye de la calmer (je crois).
Avec une incroyable force, la femme se dégage de l'emprise du cuisinier pour se jeter de nouveau sur l'homme qui git toujours à terre. Elle s'acharne sur lui et le mord une nouvelle fois. Une nouvelle morsure mais cette fois-ci, au ventre, elle passe ses mains dans le trou qu'elle vient de faire et tire. Sous le regard choqué de toute la cantine, Mme Martoneau ouvre littéralement le ventre de Geoffrois (le surveillant). D'où je suis, on peut apercevoir les intestins et les boyaux du de Geoffrois. Il ne bouge plus, et la femme continue le massacre. Elle saisit de ses deux mains, les organes qui se rependent au sol et les manges. Une cannibale.
Le cuisinier qui est sous le choque, se ressaisit, il s'approche d'elle et tente de la soulever par la taille. Il arrive à la tirer vers l'arrière mais elle se débat et le mord au bras.
Quelqu'un se décide enfin à appeler la police mais on nous apprend que les services sont injoignables. Une autre personne essaye d'appeler les pompiers mais la déception s'affiche sur son visage. A la cantine,c'est la panique totale. Certains crient et d'autres pleurent.
Je tourne le visage vers la table d'à côté et je vois Justine pleurer dans les bras de Taylor. Quand elle relève le visage, son mascara a noirci ses joues baignées de larmes.
Mon frère, lui, à les yeux grand ouvert, horrifié par la scène.
Lorsqu'il lève les yeux vers moi, je crois voir quelques larmes perler au creux de ses yeux. Il s'approche de moi et m'enlace.
Je lui dis de ne plus regarder par la fenêtre et d'aller s'asseoir contre le mur avec ses amis.
Il hoche timidement la tête et s'en va.
Quand mon regard croise celui de Caleb, je me rends compte qu'il est effrayé. Clara ouvre de grands yeux tous ronds et Allison pleure à chaudes larmes sur l'épaule de Caleb.
Je tourne surmoi-même et remarque qu'Angie n'est toujours pas revenue, elle est toujours au toilettes et elle ne doit pas savoir ce qu'il se passe en ce moment.
Mon cœur se serre à la seule idée qu'elle pourrait se faire mordre ou pire, se faire tuer.
J'attrape mon téléphone et tape machinalement son numéro.
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⚠️[ARRÊT]⚠️Le journal d'un zombie
Horor⚠️[ARRÊT DE L'HISTOIRE]⚠️ -> Explication : J'arrête cette histoire car tout simplement j'en ai créé une nouvelle qui possède le même titre que celle ci. L'histoire et l'écriture y sont beaucoup plus développées et surtout le tome 1 est fini, il faut...