Chapitre 9 :

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Soulager, ou presque, je m'allonge sur mon lit et repense a tous ça. Avec mon frère, a chaque fois c'est la même chose, on se promet de ne plus se cacher ci ou ça et au final, la base de nos disputes est en rapport avec ça. Je me demande bien si un jour ça changera et quand j'y repense, je préfère que ce sois des disputes comme ça que des disputes ou on ne se parle définitivement plus. Je ne pourrais pas vivre sans lui, je l'aime beaucoup trop.

-Elodie !

Ma mère m'appel et je me précipite en dehors de ma chambre.

-Quoi ?

-Demande a ton frère si il veut venir manger avec Antoine et Paul !

-D'accord, mais pourquoi avec juste Antoine et Paul ? L'interrogeais-je.

-Ce sont ses meilleurs amis non ? Réplique-t-elle.

-Oui oui.

Qu'Antoine soit la ne me dérange pas. Je prend mon portable et appel mon frère. Celui-ci accepte et je lui rappel que ce serait le moment d'annoncer sa maladie a papa et maman. Je m'inquiète pour lui. Des problèmes de cœur, tels qu'ils soient, n'est pas positif pour un footballeur. J'essaye d'attacher mes cheveux mi-long en chignon mais je n'arrive pas faire en sorte que ça ressemble a quelques choses. Je finis par laisser tomber et les attaches simplement en queue de cheval. De toute façon, les cheveux bouclés, c'est trop chiant. Je pars mettre un jeans noir et un TEE-shirt rose pale et je finis par descendre dans le jardin ou mes parents sont.

-Ça va ma chérie ? Demande papa.

-Oui oui pourquoi ?

-Tu as l'air préoccuper en ce moment. Dit-il.

-Ah, c'est sûrement avec le retour d'Olivier, nous avons eu quelques petits désaccords. Dis-je.

-Mais ça va s'arranger, comme d'habitude. Interviens maman.

-Oui.

Nous continuons de discutés puis je finis par aller aider maman pour la cuisine et tout ce qui va avec. Je suis contente de voir Antoine. C'est vrai qu'il me plait beaucoup mais, mais c'est Antoine Griezmann. Le footballeur mignon que toutes les filles aiment, peut être pas toutes mais bien assez déjà.

***
-Tu es prêt ? Demandais-je a mon frère.

-Je crois que je n'ai pas le choix. Sourit-il doucement.

-Je suis la.

-Je sais.

Je lui prend la main et il part dans la cuisine ou nos parents sont. Je lui indique que je pars l'attendre dehors avec Antoine et que tout va bien se passer. De toute façon, la question ne se pose pas, il est malade, il l'annonce, c'est tout.

Une fois dehors je ne cesse de jouer avec mes bracelets.

-Arrête, ça va aller. Me rassure Antoine.

-Je sais mais en fait si je suis angoisser, c'est parce que je me rend peu a peu compte qu'il est malade...

-Et c'est normal, mais il va guérir.

Je souris et Antoine me le rend.

-Tu sais, je crois que tu es une fille différente des autres.

Je souris en entendant ces paroles et je lui dis :

-Ah bon ? Et pourquoi ?

-Je ne sais pas, tu es différente. Tu ne te prends pas la tête, tu as un caractère qui me plais bien, tu es sérieuse, intelligente tout en étant drôle. Tu es un peu comme Olivier mais en fille, vous êtes des personne adorable et on s'attache très vite a vous. Avoue-t-il.

Je souris et lui répond :

-C'est super gentil ce que tu dis. Mais toi aussi tu n'es pas comme les autres. Tu es simple. Puis, ça veut dire que tu es attacher a moi ? Demandais-je sur un ton de taquinerie.

Il rigole et me dis :

-Comment ne pas l'être ?

Je souris, lui aussi et je baisse la tête car je sens le rouge me monter ....

Les 3 merveilles.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant