Les 3 merveilles.

Chapitre 52 :

                                                                                 //ANTOINE//

J'ai passé la nuit à lui caresser les cheveux, à la regarder et à la serrer contre moi. Ma princesse, mon ange... Elle est malade et mon cœur se brise un peu plus à chaque seconde. Elle n'a pas le droit de souffrir, elle ne mérite pas ça. Elle mériterais de vivre heureuse, d'être la fille la plus heureuse du monde entier et cela à mes cotés. Je l'aime comme un fou. Je suis fou d'elle et c'est elle la femme de ma vie. 

Ce matin, je l'ai laisser dormir et je me suis lever pour aller voir Olivier. Je ne peux même pas expliquer ce que je ressens en ce moment même. 

-Antoine ? 

Je me retourne dans le couloir et observe Olivier qui me sors de sa chambre. 

-Salut. Dis-je. 

-Ça va ? Demande-t-il en s'approchant. 

-Elle m'a tous dis...

Olivier me regarde et me prend dans ses bras. 

-Elle est forte, tu sais. Dis Olivier. 

-Je sais.

                                                                                                                                 ***

Nous repartons dans un peu plus de trois semaines finalement et cela est très bien. Je peux rester auprès d'Elodie. Depuis ce matin elle se promène avec un bipeur pour son cœur. J'ai si peur qu'elle n'en trouve pas. J'ai sans arrêt envie de pleurer, de tous lâcher, de tous envoyé balader et de pleurer. Mais je dois rester fort face à elle. Je dois être là pour elle. 

-Antoine ? 

J'entend sa petite voix m'appeler et je me dirige vers elle. 

- Oui princesse ? 

-Tu veux pas qu'on aille passer l'après-midi ensembles quelque part ? Demande-t-elle avec un petit sourire. 

Je souris à mon tour et lui répond :

-Ce sera avec plaisir ma chérie. 

Elle souris et viens m'embrasser. 

                                                                                                                  ***

Nous sommes coucher l'un à côté de l'autre et nous regardons le ciel. Sa tête coller à la mienne nous sommes silencieux. Je lui prend sa main et la serre fort. Je le vois du coin de l'œil sourire et je lui dis :

-Ça me fais tellement de bien de te voir sourire. 

-J'ai décider de ne pas être triste. Dit-elle. 

Je ne répond et tourne ma tête pour l'observer. 

-Tu sais, je me dis que si la vie à décider que je sois malade, c'est que c'est comme ça. Si jamais il me restais peu de temps à vivre, je veux profiter. Je veux passer du temps avec et rigoler en avoir les larmes aux yeux comme nous avons toujours fais. Je veux te serrer dans mes bras pour toujours avoir cette impression de t'avoir contre moi. Je veux t'aimer jusqu'à mon dernier souffle et tous ça, avec le sourire.

Je lâche une larme sans le vouloir et j'essuie les siennes qui ont coulés pendant son petit discours. 

-Je suis totalement d'accord avec toi. Je t'aime Elodie. 

Elle se retourne afin de pouvoir se coller contre moi.