Chapitre 45 :

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 "Lorsque je regarde le ciel, ton visage se dessine et tu me manques." 

Aujourd'hui, je n'ai pas envie de me lever. Je n'ai pas envie de sortir de mon lit. Mon frère et Antoine sont partis hier et mon cœur est partis avec eux. Je ne pensais pas que ça serais si dur. Je sais que j'ai toujours mal vécu le fait que l'on dois laisser partir deux personnes qu'on aime, même si ce n'est que temporaire, cela fais mal. 

Je prend mon portable et observe au moins une dizaine de messages entre Olivier et Antoine. Je me redresse dans mon lit et les lient. Antoine est tellement adorable. C'est un dieu. Je souhaite à toutes les filles de rencontrés un garçon comme lui. 

                                                                                              ***

Lorsque j'ai finis de prendre mon petit déjeuner, je regarde une dernière fois l'heure et prend mes affaires avant de prendre le volant, car oui, enfin j'ai mon permis. Le trajet n'est pas long en lui-même mais les bouchons le rendent. Lorsque j'arrive à destination, j'aperçois Théo qui m'attend au loin et souris pour la première fois depuis hier. Cela me soulage tellement de savoir que je connais quelqu'un dans mon travail. Je sors de ma voiture, prend mon sac et pars faire la bise à Théo. 

- Salut, alors ça va ? Dit-il. 

- Oui ça va et toi ? 

- Ça va aussi! Dit-il en souriant. 

Ce que j'adore tellement chez Antoine et son frère, c'est leur éternel sourire. 

- J'espère qu'on va bien s'entendre avec les autres. Dit Théo lorsque nous entrons enfin dans le service où nous devons travailler. 

- J'espère aussi! Dis-je. 

                                                                                            ***

Le personnel a l'air cool, notre chef de service aussi et heureusement pour moi, Théo et moi travaillons en binôme. Nous commençons par faire des prises de sang, pour finir sur des pansements... Je me rend vraiment compte que j'adore ce métier. De temps en temps nous pouvons discuter avec Théo mais il y a tellement de boulot que nous ne voyons pas le temps passer. Une fois la matinée terminée, je rejoins Théo dans les vestiaires afin d'enlever nos chemisiers. 

- Tu veux qu'on aille manger quelque part ? Demande Théo. 

- Oui avec plaisir, je meurs de faim en plus... Dis-je en prenant le reste de mes affaires traînant dans mon casier. 

                                                                                         ***

Nous avons trouver une petite cafétéria non bien loin de l'hôpital. Nous parlons beaucoup avec Théo de tous et de rien. Une fois finis, nous allons à nouveau à l'hôpital pour continuer notre travail et ceci se répète jusqu'à que Antoine et Olivier rentre. 


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