Chapitre 18 :

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Pendant que je m'essuie la glace qui a coulé sur ma main, Olivier m'appel et je le rejoins vers une vitrine. 

- Qu'est-ce qu'il y a ? Demandais-je. 

- Regarde. Dit-il en m'indiquant le magasin de foot. 

Mes yeux s'illumine et je vois les garçons en affiche à l'entrée du magasin. Je souris et traîne mon frère dans le magasin. Je ne savais pas qu'il y avait un magasin de foot ici. Il doit être nouveau. En entrant dans le magasin tout un univers de l'équipe de France y est. Fasciné je m'assure de regarder chaque coin du magasin. Il y a tous ce qu'on veut, des ballons, des objets de supporter, des chaussures et surtout, des maillots. Je m'approche et remarque tous de suite celui de Griezmann. je le prend et l'examine. Le prix est le prix d'un maillot... J'en ai déjà un, je sais, mais le dernier que j'ai, c'est le numéro 11 et le nouveau c'est le numéro 7. De plus c'est un blanc que j'ai, celui-là, c'est l'officiel, le bleu. J'hésite à le prendre où attendre les soldes. Avec un peu de chance ils seront soldés. J'opte pour attendre et cherche mon frère des yeux pour le rejoindre et ne voyant pas où il est je sors du magasin. Toujours aucune trace de lui, je prend mon portable pour l'appeler. Il ne doit pas être mais d'ici qu'il me fasse une blague... Je le connais. Il ne répond pas et je soupire. Je m'apprête à rentré de nouveau dans le magasin lorsque je le vois sortir tous sourire avec un paquet. Pensant qu'il s'est acheter des chaussures où autre je le frappe sur l'épaule. 

- Débile, je ne te trouvais plus ! 

- Eh! Dit-il en se frottant l'épaule comme si je lui avait fais mal! Je secoue la tête et lève les yeux au ciel. Il rigole et nous continuons notre promenade. 

- Alors, tu as acheté quoi, au fait dans la boutique du foot ? Demandais-je curieuse. 

- Oh, des chaussures, comme d'habitude quoi. Dit-il. 

- Oui comme d'habitude! Dis-je en souriant. 

- Alors, on va où maintenant ? Demande-t-il en passant son bras autour de mes épaules. 

Je regarde l'heure et il est déjà dix-sept heures. Antoine viens me chercher à dix-huit heures trente. 

- Je suis désoler mais je sors avec Antoine ce soir. Dis-je avec un regard désoler. 

Il souris et me répond :

- Je le savais, je voulais juste voir ce que tu allais dire. Dit-il. 

Je le regarde et lui donne une petite tape sur la tête. 

- Et moi qui m'inquiète de ta réaction. Dis-je. 

- Il ne faut pas, je ne suis pas en sucre non plus. Puis Antoine est un garçon très sérieux. Dit-il. 

- Oui, mais je ne sais pas trop quoi faire... Lui confiais-je. 

- Comment ça ? 

- J'ai l'impression que c'est lui, comme si c'étais une évidence, puis d'un coté, on se connais depuis deux semaines, c'est court quand même. 

- Oui, mais parfois il ne faut pas longtemps pour trouver le véritable amour et vous avez encore tous le temps d'apprendre à passer du temps ensembles sans pour autant être officiellement ensembles. Dit-il. 

- Je sais, mais j'ai peur qu'après les vacances, quand vous devriez repartir, il m'oubliera où que les choses changerons si nous ne sommes toujours pas ensembles. Avec toutes ces filles qui le trouve beau, il aurais vite fait de me remplacer. Dis-je en faisant la moue. 

- Certes, mais les choses peuvent vite tourner en ton avantage et en plus, il n'a que toi dans la tête donc je pense qu'il serait difficile de t'oublier. Affirme-t-il en souriant. 

Je souris et lui répond : 

- Je laisse le temps faire les choses! 

- Tu as bien raison. 

Puis nous partons en direction de la voiture afin de rentrer à la maison. 

                                                                                                   ***

Je finis par m'attacher les cheveux en queue de cheval et mettre un peu de mascara. Je me regarde un dernière fois dans la glace et ajuste mon petit chemisier retombant légèrement sur mon short en jeans blanc. Je prend une grande inspiration et sors de la salle de bain pour aller chercher mon portable dans ma chambre. Lorsque j'attrape mon portable sur la table de nuit, un sachet est posé sur mon oreiller. Intriguée, je le regarde de plus près et remarque que c'est le sachet qu'Olivier avait en sortant de la boutique de foot. Je le prend et lorsque je l'ouvre, je prend le tee shirt se trouvant à l'intérieur et crois rêver lorsque je découvre la maillot de Griezmann, celui que je voulais. Je le regarde sous toutes les coutures afin de m'assurer que c'est bien celui que j'ai vue lorsque j'entend la voix de mon frère me dire : 

- Je t'ai vue le regarder et le reposer, c'est ma façon de me faire pardonner. 

Je tourne la tête et le vois coller contre ma porte avec les bras croisés en train de sourire. sans réfléchir je pars lui faire un câlin. 

- Merci Olivier, merci, merci merci! 

Il rigole et me fais un bisous sur la joue. Trop heureuse je sers le tee shirt contre moi et en voyant l'heure, je paniqua lorsque j'entendis sonner. Antoine est là.

Les 3 merveilles.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant