Laura
Après l'avoir jeté sur son lit, je me suis surpris à regretter de la brutaliser tant depuis seulement trois jours, puis mon vrai moi revint et le sourire qui va avec, aussi. Mon sourire s'élargit quand je l'entends crier sous la surprise et la douleur dû au choc. Je m'approchai, me plaçai au-dessus d'elle puis pressai ma main droite contre sa bouche, voulant étouffer les cris devenus gémissements maintenant. Elle tenta de me mordre mais une bonne gifle la remit à sa place. Les larmes pleuvaient de son côté, tandis que moi je jouissais presque de la voir dans cet état de faiblesse. Elle ne pouvait ni bouger, ni appeler à l'aide, et encore moins s'enfuir. Elle était dans l'obligation de m'écouter, de m'obéir. En seulement trois jours, je pense avoir déjà bien commencé mon programme de sa remise à niveau. Elle est polie, ça je peux pas lui retirer, mais ce que je vais lui retirer par contre, c'est le fait de répondre et de désobéir. Il faut qu'elle apprenne que sa place est à mes côtés, et à n'importe quel moment soit entre mes jambes soit sur ces dernières. Elle doit comprendre qu'elle le veuille ou non, on se mariera, on aura des enfants et tout ça en plus de la lignée de gang de son père. Putain, c'est le jackpot! Un autre sourire étira mes traits, avant que je ne repose mon attention sur ma promise, qui elle était morte de peur en-dessous de moi. C'est vrai que mon corps est imposant mais je pense que c'est plus porté sur le fait qu'elle ne puisse pas se défendre et que je vienne de la blesser encore plus. La gifle avait été totalement calculée. Je voulais la frapper une nouvelle fois au visage et c'est ce que j'ai fait. Sauf que là c'était encore plus jouissif puisqu'elle était déjà blessée à la pommette, il ne restait plus qu'à balancer mon poing à cet endroit pour qu'elle se calme une fois pour toute. Puis une pulsion me secoua, me forçant à lui faire encore plus mal, voir pire... Je pris appuie sur ma main gauche pour la plaquer contre son cou, lui bloquant instantanément la respiration. Elle ouvrit ses beaux yeux marrons et la peur apparaissait très clairement, m'amusant qu'un peu plus. Ses larmes reprirent leur travail tandis qu'elle agrippait mes poignets dans une tentative de retirer ma main de sa gorge. Sauf que non, ça ne se passera pas comme ça. Je les lui saisis et les plaçai au-dessus de sa tête. Je retirai ma main de sur sa bouche, la laissant chercher l'air, que malheureusement elle ne trouvera pas si je n'enlève pas ma main de sa gorge. Quand je vis que ses yeux se fermaient de plus en plus et que sa poitrine se leva une dernière fois dans un hoquet, je retirai ma main et posai brutalement mes lèvres sur les siennes pour lui envoyer de l'air, gonflant ses poumons et oxygénant son cerveau. Je ne le fis que deux fois avant qu'elle ne revienne en se redressant. Mais je ne voulais toujours pas qu'elle bouge donc je repositionnai ma main sur son cou, sans appuyer cette fois-ci. Soudain, elle s'énerva et se mit à se débattre. Oh ça va je t'ai pas tué, t'es encore là! Puis plus ses mouvements étaient désordonnés, plus mon envie de la baiser maintenant était grande.
"- Qu'est-ce que tu fais? Demandais-je, m'efforçant de me calmer.
- Je construis un bonhomme de neige cela ne se voit pas? Rétorqua-t-elle avec véhémence."
Je suis sûr qu'à ce moment-là mes yeux avaient changé de couleur, dû à l'énervement. Mes yeux se noircirent donc, puis ils quittèrent son visage pour descendre dans son cou, puis la vallée de ses seins, pour finir sur son bas-ventre. J'y apportai la main qui n'était plus sur sa gorge et la posai sur ce dernier.
"- Un jour, il sera rempli de moi. Chuchotais-je avec une fierté anticipée.
- Dans tes rêves."
Je remontai le regard vers elle tout en souriant avant de me relever entièrement et de la regarder d'en bas tout en défaisant ma ceinture. A la vue de mes gestes, elle se remit à pleurer mais silencieusement cette fois-ci. Mon sourire s'agrandit avant que je ne me penche vers elle et la redresse. Ses yeux me questionnèrent mais je ne répondis pas, trop pressé par la suite des événements. Je l'agenouillai par terre, puis continuai d'enlever mon pantalon. Je le jetai à coté de sa tête, la faisant sursauter puis entrepris d'enlever mon caleçon, mais elle me stoppa d'une voix tremblante:
"- Arrête toi là, s'il te plaît.
- Pourquoi? Ce que tu vois te rends mal à l'aise? Tu sais que ce n'est rien que tu n'es déjà vue ma puce."
Elle se renfrogna, sûrement affectée par le surnom mais je n'y prêtais pas plus attention que ça. Je m'en fous à vrai dire.
"Peut-être que je l'ai déjà vu mais ce n'était pas intentionnel de ma part et je ne-Ah!"
Je le retirai, puis fus surpris de comment elle détailla mon corps. Elle est si innocente et prude que je ne me doutais en aucun cas qu'elle m'aurait dévisagé comme ça. Un sourire vainqueur se plaça sur mon visage tandis qu'elle semblait "tâter" le terrain. L'imagine-t-elle en elle? Oh la petite coquine. Allez le plaisir doit arriver maintenant, je vais plus me retenir très longtemps. Je m'approchai d'elle, lui causant de se reculer et de se retrouver coincée entre le matelas et ma bite. Ses yeux étaient toujours accrochés à elle, m'étonnant de plus en plus. Pourquoi la regardait-elle comme ça? N'en avait-elle jamais vu avant? C'est impossible, elle a dix-sept ans! Puis je fus tellement près d'elle, avec ses lèvres entrouvertes prêtes à m'accueillir et le fait que j'avais une terrible envie de la baiser, que ma queue se mit à bouger sous son nez. Elle fronça les sourcils, également très surprise que cette "chose" soit vivante.
"Jamais vu? Demandais-je en souriant."
Trop troublée par la vue que je lui offrais, elle me répondit seulement par un mouvement négatif de la tête. Elle semblait si perturbée que ça me poussa à accélérer les choses. Je me penchai alors, créant un contact visuel avec elle, puis posai mon index sur sa lèvre supérieure qui retomba sur sa lèvre inférieure, ce qui m'excita encore plus. Je vais finir par avoir les couilles qui font exploser. Je me mordis la lèvre puis pris la parole:
"Tu ne veux pas te refaire frapper, je suppose? Mmh?"
Elle hoche simplement de la tête.
"Donc tu vas faire ce que je vais te dicter, on est d'accord?"
Elle hocha encore une fois la tête, m'énervant. Je la relevai et posai mes yeux dans les siens.
"Je veux te l'entendre dire. Ordonnais-je."
Elle se mordit elle aussi la lèvre inférieure, la rendant encore plus baisable qu'elle ne l'est à l'origine.
"- O-oui.
- Bien."
Je me redressai et lui dis de s'avancer vers moi. Elle hocha encore de la tête puis obéit. Enfin à sa place, je lui ordonnai de lever la tête et de me regarder. Elle le fit mais faillit déchanter quand elle sentit ma bite - bien qu'elle ne sache pas mes pensées - se poser sur ses lèvres. Je lui ordonnai une seconde fois de la laisser en l'air et de me regarder droit dans les yeux, ce qu'elle fit. J'aime quand elle fait sa chienne, quand elle est soumise elle est tellement désirable et baisable que ça en devient fou. Voyant qu'elle ne bronchait plus, j'enfonçai un peu plus ma bite dans sa bouche, la laissant tâter le début de sa langue, me remplissant de sensations au passage. Ses yeux ne me quittaient pas et c'est là que la pulsion dépassa ma tolérance. Je donnai un coup de hanche, laissant ma queue toucher le fond de sa gorge. Elle baissa la tête par réflexe, mais je ne la blâmais pas c'était naturel. Je restai comme ça, ça faisant tellement de bien que je ne saurai pas décrire ce que je ressens, ou plutôt ce que Jackie ressent du bout de sa tête. Soudain, elle voulut s'enlever de ma prise par pure instinct mais mon cerveau ne l'entendait de cette oreille, il voulait plus. Alors j'appuyai dans le sens contraire du son sens et sentis sa respiration abrupte chatouiller mon bas-ventre, ce qui me fit sourire. Ses larmes reprirent leur chemin sur ses joues et ses yeux s'écarquillèrent à la compréhension de ce qui se passait.
Elle avait compris que je venais d'enfoncer ma queue dans sa bouche pour qu'elle me suce.
VOUS LISEZ
My Dark Body Inside ~ZJM
Fanfiction"My Dark Body Inside" écrit en collaboration entre deux filles: @NinaHallas et @Laura_Lavie ["- Non, ne t'approche pas de moi. Ne t'approche plus ou... Ordonnais-je, la voix cassée à cause de mes cris. - Ou? Demanda-t-il, un sourire malicieux s'éti...