Imposant

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Bonjour les grecs!!!
(L'histoire parle d'un grec, voilà pourquoi)

Vous allez bien??

Alors quel mois sommes-nous?

Février? Il me semble bien.

Doooonc, comme promis, je commence à publier sérieusement cette fiction. Plusieurs m'ont dit qu'ils ne pouvaient plus attendre et je vous comprends, car moi aussi j'avais hâte de vous jouer des tours avec cette fiction. 😏😏😏😏

Eh oui, ceux qui ne me connaissent pas encore, je me marre solide de vous faire des surprises aussi bonnes que mauvaises.

Bref, faites comme d'habitude, quoi. Lisez, commentez (je réponds toujours) votez (c'est apprécié) et partagez (c'est aussi apprécié, mais avant tout, l'important est que vous vous plaisez à lire).

Et rendez-moi dingue avec vos suppositions☺️☺️☺️

!!!!!! Je cherche un(e) ou des correcteurs pour cette histoire et aussi un traducteur. Si vous êtes intéressé, vous n'avez qu'à m'écrire. L'avantage est que vous aurez les chapitres en avance, aurez droit à ceux des autres fictions!!!!

De plus, un petit coup de pouce est nécessaire aussi. Envoyez-moi des photos pour représenter les personnages, s'il vous plait.

Je compte faire des jeux autant que possible durant la publication de cette fiction. Ce que je veux dire par-là c'est qu'il y aura des tirages, des jeux de devinettes qui vous permettront de gagner un, deux ou même trois chapitres avant la vraie date de publication. Ce qui veut dire que si quelqu'un gagne, vous aurez la chance de lire le chapitre plus tôt, donc participez!

Donc l'histoire commence!!!!

Je ne le voulais pas, mais je devais y mettre fin, me dis-je quand je me retrouvais le dos contre l'armoire de tout à l'heure

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Je ne le voulais pas, mais je devais y mettre fin, me dis-je quand je me retrouvais le dos contre l'armoire de tout à l'heure.

– Markos?

Son nez et sa bouche parcouraient mon cou, me faisant perdre la tête.

– Chut.

Non, je ne pouvais pas. Quelque chose me disait que ça ne devait pas continuer.

– Non, Markos, gémis-je quand il déposa ses lèvres sur ma peau.

Sa main caressant ma cuisse s'arrêta et il se redressa.

– On ne devrait pas, dis-je en déposant mes mains sur son épaule.

Il me regarda en silence.

Je ne supportais pas son regard brulant. Si je le regardais, je cèderai et je ne devais pas.

Avant tout✅Où les histoires vivent. Découvrez maintenant