La vie et ses vices: Mayna & Rachid

Chapitre 28

- Bon d'accord j'accepte de toute façon je me suis disputée avec mon père j'ai pas envie de rentrer tout de suite.

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On y vas et on arrive en boîte de nuit et la musique et tellement forte on s'est ambiancé et tout mais j'ai perdu de vue mes copines je et là des mec qui sont plus âgé que Karim des gars qui on l'air d'avoir la vingtaine commençaient à se frotter à moi et même si je m'habillai mal ou quoi que ce soit j'aimais pas qu'un garçon s'approche de moi.

- wesh tu fait quoi là?

Le gars - T'a quel âge gamine tu fous quoi en boîte ?

Pourquoi je suis venue ici moi ? J'aurais pu partir chez ma tatie après ma dispute mais non en boîte et mes copines je les voit plus.

Le gars - Rentre chez toi C'est dangereux ici.

- Aziz ? C'est toi ?

Aziz - Mayna ?  Quand je vais dire à Karim que sa reus était en boîte tu vas pas rigoler. Vas y rentre chez toi.

- Tu dit rien à Karim hein steuplé lui dit pas.

Aziz - C'est bon mais la prochaine fois je veut pas te voir ici.

- Ok..

Je me faufile dans la foule pour chercher mes copines mais je les trouve pas alors je cherche la sortie et j'arrive enfin dehors.

Je transpire de ouf j'entame le chemin pour rentrer chez moi je regarde ma petite montre de poche et je vois il est 22 h en plus c'est dimanche aujourd'hui je doit passer dans le raccourci pour ne pas arriver tard chez moi j'espère juste qu'il y auras personne c'est un peut comme une forêt.

Et là j'entend des pas derrière moi et je commence à marcher vite je commence à stresser de ouf quand j'entend une voix.

?? - Eh ma biche!

Je fait genre j'entend pas, et je commence à marcher vite quand je voit quelqu'un devant moi.

Oh noon... Je reste bloquée là sans issue quand une troisième personne apparaît et ils commencent à s'approcher de moi je commence à pleurer et crier quand ils me mettent un bandage sur la bouche.

- Mmmmm!

Je n'aurai jamais dû y aller avec eux'aurais dû écouter mes parents.

Mes larmes ont commencé à couler.

Il on commencer à m'attacher les main, c'était dégueulasse répugnant j'avais juste envie de mourir à ce moment là il ont commencé à me toucher partout ça me dégoutait tellement, mes larmes coulaient mais je ne pouvais pas crier à l'aide ils ont commencé à me déshabiller, je me débattait quand j'ai reçu une grosse gifle ça m'a fait tellement mal.

Dans ma tête c'était lâchez moi mourrez je sait pas mais me touchez pas c'était trop répugnant je ne vous détaillé pas plus ce soir la on m'avait violée et laissé pour morte..
....

Je me réveille dans une chambre d'hôpital et je vois ma mère qui pleure et je me rappelle des atrocités qui m'ont été faite et je commence à pleurer quand Karim qui est assis au fond de la salle se lève.