Chapitre 38

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HOLA

Comment ça va ? Moi ça va, vous vous en foutez de comment je vais, mais je vous le dis quand même 🤗 je sais, vous attendez juste de lire hein, mais j'ai quand même fais une nuit blanche pour terminer d'écrire ce chapitre donc, pensez un peu à moi 🤣

Je sais que je vous tue avec du suspense à chaque fois aha, ça fait   trois ou quatre chapitres que je termine sur du suspense hihi, sorry not sorry !

Mais après une semaine d'attente, voici enfin la suite, je sais que vous l'attendiez (ne dites pas que vous vous en foutez please je me sentirais trop seule)

Autre chose, milles merci ! Ou plutôt, trente milles merci ! Car les 30k de lectures sont passées, je n'en reviens pas ! 30 000 ? Il y'a quand même quatre zéros ! Je suis tellement heureuse de voir que les chiffres augmentent chaque jour, et je suis ravie que vous appréciez mon travail !

Merci d'être la, merci de voter à chaque fois, merci de commenter aussi, je sais que je ne pense pas toujours à répondre mais sachez que je lis absolument tout et que vous me faites mourir de rire 😂 mais aussi chaud au coeur MERCI!

Bref, après cet instant bisounours, je ne vous fait pas attendre longtemps, mais saches que si tu as lu jusqu'ici c'est que vraiment tu as de la patience aha ! 

Aller,

BONNE LECTURE



Point de vue de Maya.

Ma mère m'a dit un jour, ne regardes jamais derrière toi, si Cendrillon s'était retournée pour ramasser sa chaussure, elle ne serait jamais devenu princesse. Je n'avais jamais compris ce que cela voulait dire. Je m'en suis toujours souvenu car j'adorais Cendrillon à cette époque, mais je ne comprenais pas le vrai sens de cette phrase. Aujourd'hui, j'arrive à déduire que le vrai sens est qu'il faut toujours avancer devant soi, ne pas regretter ses actes, ne pas se focaliser sur ce qui est passé, et se contenter du présent. Mais peut-on oublier un passé lorsque celui-ci a été tellement affectant qu'on a l'impression de ressentir la même souffrance en se réveillant tout les matins ? Et l'impression que ce sentiment ne pourra jamais s'en aller ? En tout cas, lorsque mes yeux s'ouvrirent à cet instant la, je l'ai ressentis. Absolument tout. Depuis le début. Les rires, les paroles, les cris, les larmes. La souffrance. Comme si tout ce qui s'était passé avait défilé dans mon esprit, pour me faire revivre les meilleurs, mais surtout les pires moments.

Je me retrouvai face à un plafond blanc, fade, terne. J'avais l'impression d'être dans un néant, et pourtant j'arrivais à entendre une voix. Une voix qui me sembla familière, mais que je n'arrivais pas encore à reconnaître. Tout avait l'air si flou dans ma tête. J'avais envie de refermer les yeux, mais j'avais peur. Peur d'y replonger à nouveau. Peur de faire face à cette souffrance, encore une fois.

Je n'arrivais pas à bouger, je me sentais beaucoup trop faible. Je n'arrivais même pas à bouger mes yeux pour regarder ailleurs que ce foutu plafond. C'était tout ce à quoi je faisais face.

J'ignore combien de temps j'étais restée dans cette position, immobile. Peut-être plusieurs minutes, peut-être plusieurs heures. Mais la voix que je ne reconnaissais toujours pas avait désormais disparue. Je n'entendais plus que le son d'un bip répétitif, qui me donnait des maux de tête.

DO NOT LOVE MEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant