Marque 2 ✔

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Au début j'avais cru qu'il m'aimait. Quel bel espoir brisé comme un vulgaire miroir. C'était son âme de dragon qui avait parlé à sa place. J'avais perdu connaissance, sûrement à cause du marquage. Il ne m'a plus porté la moindre attention depuis ce jour. La marque était apparut au fil des 48 heures qui avaient suivi. Maintenant, j'avais des écailles dans le cou, et dieu sait combien c'était désagréable.

-Écoute Erza, je ne porterai pas plainte. C'est mon compagnon, et puis, je suis sûre qu'au fond de lui, c'est un homme bon, je posais ma main sur son épaule et lui souriait chaleureusement. Ne t'inquiètes pas Erza.

-Mais-

-Erza, laisse-là, Lucy est une adulte après tout. Si c'est son choix, tu dois le rescpecter.

-....MINCE! Je dois retourner tout de suite dans la chambre! Il ne faut pas que Sting arrive là-bas avant moi! Au revoir, j'ai été vraiment contente qu'on se parle!

-Au revoir Lucy!

Je courrais vers l'ascenseur. Oui, s'il y a un ascenseur c'est que nous sommes à la capitale royale. Crocus. Là où la guilde du tigre se situe. J'attendais, le cadrant indiquait que l'ascenseur était au rez-de-chaussez. Il était entrain de monter. Puis il arriva à l'étage 35. Les portes étaient à peine ouverte que je fis un petit pas avant de me figer. Sting était là. Il me regarda puis fronça les sourcils et me fit signe de la tête de rentrer.

Je baissais la tête et les porte se fermèrent.

-Je croyais t'avoir dit de rester dans la chambre.

-Oui mais....je voulais prendre des nouvelles de Mirajane et Erza...et j'ai pris plus de temps que prévu... Je suis vraiment déso-

-J'en ai rien à faire se tes excuses. Tu savais qu'il ne fallait pas sortir. D'ailleurs, je t'avais dis que tu allais être punie, non?

-Ou...oui.

-Enfin,ce ne sera peut-être pas une putnition pour toi.

-Pardo-.

Je n'avais même pas eu le temps de finir ma phrase que ses lèvres se plaquèrent sauvagement contre les miennes.

Elles se mouvèrent en rythme sur les miennes et je répondis au baiser.
Je le reconnais. Malgré le faite qu'il m'ignore, on va dire ça, je suis totalement amoureuse de lui. Je suis raide dingue de lui. Je l'aime à la folie.

Ses mains glissèrent sur mes fesses et il me souleva; j'enroulais mes jambes autour de ses hanches. Les portes s'ouvrirent. Je jetais un regard furtif vers l'extérieur. Ouf, il n'y a personne. Et tant mieux, il n'y a pas de caméra dans l'ascenseur, je ne voudrais que rien ne gache ce moment. Il sortit tout en continuant notre ardent baiser et se dirigea vers la dernière chambre du couloir : la notre. Il glissa la carte sur le capteur et abaissa la poignée.
Il me posa sur le lit et se mit au-dessus de moi, ses mains et ses jaobes de part et d'autre de mon corps, de chaque côté de mes hanches.

Ses lèvres descendirent vers mon cou et j'enroulais mes bras autour de lui, en parcourant chaque parcelles de son dos à l'aide de mes mes mains.
Il déposa des baisers mouillés sur la marque et je fus immédiatement pris d'une sensation indescriptible. Elle était à la fois agréable et froide. Je voyais bien ses mains serrer le drap du lit. Il l'agrippait à en faire blanchir ses doigts. Ça devait aussi lui faire de l'effet. Je lui retirais son haut et il fit de même avec moi. J'étais à présent en soutien-george devant lui et il déposait une traînée de baisers sur mon corps. Se redressant à califourchon sur moi, son regard s'encra dans le mien. Sa main glissait lentement derrière ma nuque et m'attira brusquement vers lui. J'échangeais les places me retrouvant sur son corps bien bâti. Il s'emparait de mes lèvres et je passais mes mains dans ses cheveux. La respiration saccadée, nous nous séparions. Front contre front, je respirais fort tout comme lui, je pouvais sentir sa respiration sur mon visage, sûrement devenu rouge. Ses doigts se baladaient sur ma taille. Puis il me tira l'arrière de la nuque inclinant de suite ma tête vers l'arrière. Ses lèvres se déposaient délicatement sur mon cou me proccurant des milliers de frissons. Son autre main glissa sur mon dos et détacha habilement les agraphes de mon soutien sans bretelles. Ma volumineuse poitrine était à présent libre. Je n'allais pas me laisser dominer comme sa..

-Sting.., réussis-je à articuler, la respiration presque coupée.

-Non...c'est ta punition et..., il reprit sa respiration, etc'est à moi de le faire...

Et puis zut, je n'ai pas la foi de persévérer.

-Sting..

-Qu'est-ce qu'il y a?, dit-il en continuant de m'embrasser.

-Laisse-moi...reprendre mon..souffle..

Il arrêta de m'embrasser et me fixa intensément de ses prunelles bleues saphir.
Il me lâcha et me fit glisser sur le drap puis il se leva, remettant son haut et rattachant les bretelles à son pantalon.

-Je sors.

-Où est-ce que tu vas?

-Prendre l'air.

Il posa la main sur la poignée mais se ravisa et se tourna vers moi, qui m'étais enfouie sous le drap.

-S'il te plaît, reste ici.

J'hochai la tête. Les filles devaient être couchées. Il était presque 23 heures.
Je baissais la tête et il souffla. La porte se referma.

Je me sentais étrangement humiliée.

M I N EOù les histoires vivent. Découvrez maintenant