Chapitre 5 : Un derby d'anniversaire pour Papi, Une émotion pour Camille

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Ma grand Mére Maria me fixer intensément, j'étais vraiment stressé à présent, ma grand mére était jeune 56 ans, elle avait eu ma mére tôt, a 20 ans, et ma mére m'a eu a 18 ans, alors elle était devenue grand mére jeune

'' Madre Mia ! Camille que tu as grandi, tu es une femme maintenant ! Viens dans mes bras ''

Je m'étais approché d'elle, et je m'étais penché pour la serré dans mes bras, elle m'avait serré fort, je me sentais plus légère maintenant, elle m'avait reconnue, et j'étais soulager

'' Entre ! Luis, tu ne devineras jamais qui vient nous rendre visite ! ''

J'étais rentré dans l'appartement de mes grands-parents, pas grand-chose avait changé mise à part une décoration différente, mon grand pére était devant la télévision, il s'était tourné vers ma grand mére et vers moi

'' Bonjour papi '' - '' Oh mon petit ange quel surprise ! '' - '' Joyeux anniversaire ''

Je l'avais aussi serré fort dans mes bras, ça me fessait vraiment bizarre de le retrouver, il semblait vraiment émue de me voir

'' Merci mamie '' - '' Alors raconte nous un peu, comment c'était Barcelone ''

Ma grand mére m'avais servis un café, on discutait de tout de rien, de tout ce qui s'était passé pour moi depuis que j'étais partit, ont arrêté pas de parler, je me suis vraiment très bien entendue avec mes deux grands parents, et surtout avec mon grand pére

'' Et toi Papi, tu es retourné au Stade ? '' - '' Ah ma fille, non ! Personne ne voulais m'y accompagner '' - '' Va voir l'ancienne chambre de ta mére ''

Mais eum, ok, ça me fessait de la peine que finalement personne ne l'accompagne au stade à part moi, je sais que il aime aller au stade plus que tout encore. Ma Grand mére m'avait indiqué d'aller dans l'ex chambre de ma mére ce que j'avais fait, j'avais ouvert la porte et j'étais resté bouche bée, bon sang, cette chambre était un sanctuaire dédié à l'Atletico de Madrid, il y avait des écharpes, des maillots, des articles de presse, des babioles, des places de matchs, des drapeaux, c'était juste magnifique, je regardais tout autour de moi, et je me suis arrêté sur un maillot placardé au mur il était floqué '' Simeone ''.

'' Tu sais, ta mére a voulu te le dire, plusieurs fois, mais elle avait peur que tu régisses mal, et que tu sois déçu ''

J'avais sursauté, et j'avais regardé mon grand pére, qui était rentré dans son sanctuaire, lui aussi visiblement le savais mais je ne pouvais pas lui en vouloir il n'avait pas de raisons de décidé ou non si je devais savoir

'' Si je l'aurais sus il y a 10 ans j'aurais raté les meilleurs moments de ma vie, ce que tu m'as fait vivre c'était un peu unique ''

En lui parlant j'avais pris un cadre ou il y avait une photo de lui et moi, on se tenait tous les deux, avec nos maillot de l'Atletico, devant les barrières du stade, en arrière-plan la pelouse du Vincente Calderon, on était beau tous les deux, je ne peux pas regretter une chose pareil, ce que j'ai vécu les jours de match, l'impatience, la joie, la peine, c'était ma façon de vivre L'Atletico

'' Peut être que ta maman ne voulais pas stopper ton rêve, et le miens, elle savait que toi mais aussi moi allions souffrir, je ne voulais pas que tu t'arrêtes de m'accompagner au stade ''

Et on a fini par souffrir, tous les deux, c'était juste une question de temps, je tenais le cadre dans mes mains et j'étais parti m'asseoir à côté de lui sur le canapé de la chambre

Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant