Lorsque je m'étais réveillé, la première chose qui m'avais sauté aux yeux, c'était l'odeur qui régné dans la pièce, l'odeur du café mélangé à celle du gâteau de ma grand mére, a peine sorti du four, j'avais attrapé mon téléphone, ignoré tout, et juste regardé l'heure 10h55, putain Camille c'est pas une heure pour se lever, j'avais râler, et je m'était levé, j'avais arrangé mes cheveux, et j'étais apparu grand sourire vers mes grands-parents.
'' On t'a entendu rentrée hier soir '' – '' Oh désolé, je suis sorti avec Marco et sa copine hier soir ''
Je m'étais servi un café que j'avais coupé avec du lait concentré sucrée, pas envie de café noir aujourd'hui. Et j'avais évidemment pris un morceau de gâteau, avant de m'asseoir à côté des deux.
'' Hier, on a dinée chez les Hernandez, il y avait Rodri, qu'es qu'il est bon depuis le début de saison '' – '' Hein ? Ah oui ? ''
Oui, oui, j'avais quasiment pas raté un match, c'est vrai que le Tio était super bon, il jouait vraiment bien, avec une façon décontracté, il avait pris le numéro de Gabi et le porté vraiment bien, il pouvait être fier de lui, lui qui avait si peur, de le porté, il ne devais pas s'inquiété pour ça.
'' C'est vrai qu'il porte bien le numéro 14, comment il allait ? ''
Je voulais savoir comment il allait, et comment il avait pris le fait que se faire avoir par sa copine, et s'il m'en voulait
'' Etonnamment bien pour un mec qui venait de se faire larguer vraiment ''
Oh, ils sont au courant alors, tant mieux si ma grand mére disait ça c'est que ça allais alors, elle savait lire entre les mots, lire le caractère des gens, alors si elle avait vu ce n'est que un peu de tristesse elle me l'aurait dit, du moins j'imagine.
'' Je vais faire un tour ! '' – '' Attends descend sa a Maria Paz en même temps ''
Ok, j'avais pris ce que ma grand mére me tendais, c'est à un dire un sac avec des plats, je ne poserais pas de question et je vais les descendre au rez de chaussé, chez les Hernandez. J'avais descendu les escaliers rapidement, et j'avais frappé trois fois de façon calme sur la porte des Hernandez. J'avais attendu à peine deux secondes et j'avais vu Fernando ouvrir la porte.
'' Fernando bonjour ! Comment ça va ? Ma grand mére m'a dit de te ramener ça ! ''
Je lui avais tendu le sac de plat, j'avais dit ça avec tellement d'enthousiasme, je ne me croyais pas moi-même, je crois que j'étais de bonne humeur, mais genre vraiment.
'' Entre 5 minutes ! Pose-moi le sac sur la table, tu veux boire quelques choses ? ''
J'avais posé le sac sur la table de la cuisine, non, je voulais rien boire, je ne voulais pas m'attarder ici.
'' Non merci, ça va aller '' – '' Ok attend juste deux minutes, je te donne le plat que ta grand mére a laissé la hier ''
Ok, ben pas de soucis, je l'attendais dans le salon, en regardant le mur plein de photo, j'avais souri quand je voyais les photos, principalement de Rodri, tout petit, et mon sourire avait encore grandit quand j'avais vu cette photo de moi et lui, on était des petits enfants, on se tenait face à face, on se tenait la main, Rodri et moi, nous nous embrassions sur la bouche, nous devions avoir 4 ans et on avait tous les deux nos maillot de L'Atletico, puis j'avais vu une autre photo, j'avais pas pu m'empêcher de prendre le cadre, pour la regardé de plus près, et là j'avais un gros sourire, sur mon visage, cette photo, je m'en souvenais, bien sûr je l'avais dans mes affaires, il y avait Koke, Beatriz, Rodri, Lucas et moi, on avait 10 ans sur cette photo, et on posait avec Fernando Torres, lui qui jouait déjà pour L'Atletico, j'aimais bien cette photo, j'avais vu plein d'autre photo, ça fait bizarre de ce rappeler ce qu'on était.
VOUS LISEZ
Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & Moi
Fiksi PenggemarCamille, étudiante de psychologie du foot, découvre un secret qu'elle n'aurai jamais pu imaginé sur sa vie, et sur ses Parents. Un secret qui l'amènera à vivre des moments difficiles, mais aussi des moments de joies. Entre Madrid, l'Italie et le res...