Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & Moi

Chapitre 10: Et si j'embrasse un champion devant des millions de personne

Et je vous passe le reste. Les larmes sur nos visages, sur quasiment tous nos visages. Ma réaction, je ne sais même plus, enfin si, avec Giuliano, on s'était lâchée, pour se retrouver encore plus proche. En larmes dans les bras l'un de l'autre. Beatriz, Carla, Pau, Gianluca, Giovanni, et d'autre supporters tous en larmes. Je n'y croyais pas. J'y croyais plus.

'' Putain mais, mais c'était oh merde ''

Je m'étais caler dans le cou de Beatriz, je sais pas du tout comment vous expliqué, mais J'avais suivit le ballon qu'avait tiré Koke, je l'avais suivit, jusqu'au moment où la trajectoire avait changé, et c'est à ce moment-là que ma vie a changé, la balle était parti avec une puissance incroyable se logé dans les filets de Ter Stegen la tête de Lucas, c'est le plus beau jour de ma vie, on est champion de la Liga. A la dernière seconde on la fait.

'' Je ne voulais pas pleurer ! '' - '' Je savais que j'allais pleurer ''

J'avais regardé Isabella Juanfran qui avait des larmes dans les yeux, les filles étaient toutes venue nous rejoindre avec les enfants, et la femme de Gabi, Maria qui avait son maquillage qui couler

'' C'est juste que c'était le rêve de nos mari, et waouh '' - '' C'était aussi le rêve de mon papa '' - '' C'était aussi celui de mon meilleur ami '' - '' C'était mon rêve ''

C'est trop beau, vraiment, c'était notre rêve a tous, et on l'avait fait, c'était trop beau, il était là tous, sur la pelouse, a se congratuler, j'avais juste envie de tous les serré dans mes bras, Fernando Torres, parce que c'était mon idole, Gabi parce que il est fidèle à L'Atletico, Lucas parce que il nous a offert la liga, et parce que c'est mon meilleur ami de toujours et qu'il me manque tellement, j'avais aussi envie de serré Diego dans mes bras parce que il est le meilleur coach que l'Atletico aurais pu avoir, et j'ai envie de serré Antoine dans mes bras parce que je l'aime du plus profond de mon cœur.

'' Giuliano, ton carnet, tu le commenceras avec un trophée de la liga ! C'est bien ! Allez on va descendre sur la pelouse, tu viens ? ''

Pas besoin de lui dire deux fois, bien sûr qu'il vient c'est évident, clairement évident ! On descendait tous des tribunes, nous '' Famille des joueurs ''.

'' N'est pas peur ! ''

Lea avait peur, la petite de Juanfran, elle semblait vouloir être dans les bras de sa maman qui porter déjà le plus petit, alors je l'avais pris dans mes bras, et j'étais resté en retrait avec Carla, et Isabella, Carla me coller, je l'aimais bien, mais je savais ce qu'elle fessait. Devant j'avais déjà vu les garçons nous remarqué, et Giuliano avait rapidement courut vers son papa qui l'avais pris dans ses bras, il avait été rejoint par ses trois frères, et il s'était fait un câlin collectif, j'avais souri c'était beau, les femmes avait rapidement pris la direction de leur mari

'' Hé ma princesse, viens dans les bras de papa, merci '' - '' Pas de soucis, Félicitation Juanfran, tu le mérite plus que quiquonque ''

Surprenant et dans la bonne humeur général, il m'avait fait une accolade avant de rejoindre sa femme et son fils. Là ce fut frappant pour moi, tout le monde était avec quelqu'un, sauf moi, j'étais tout de seule au milieu de la pelouse, je cherchais des repères du coin de l'œil, et j'étais tombé sur un regard qui me fixait intensément, dans ma tête c'était un peu l'ébullition,'' Meuf, un jour je gagnerais la liga, et sa sera pour toi '' j'étais resté sans bouger '' Je te promet, je marquerais a la dernière minute, et je te dédierais le but, je dirais que c'est pour ma petite blondie '' Mes jambes sont enfoncé dans le sol Tu seras en larme dans les tribunes, et tu pourras dire à tout le monde que ton frère a marqué le but de la victoire, qu'il était pour toi parce que il t'aime plus que tout au monde Une larmes, mon corps pouvais faire que cela Je t'aime tu es pas ma meilleure amie, tu es ma sœur, avant de rencontrer Beatriz il y avait nous deux, que nous deux, tu es ma sœur, ma joie de vivre, la meilleure présence à mes côtés pour ma carrière, je t'aimerais toujours plus que n'importe quelle homme '' Et sans que mon cerveau face la connexion avec mes jambes, mes jambes était partit, partit en courant vers l'homme qui me fixait, je courrais, en pleurant, et finalement, j'étais arriver rapidement a lui qui lui aussi avait accéléré le pas pour me rejoindre, rapidement mes pieds avait quitter le sol, et tourner en l'air.