Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & Moi

Chapitre 18 : Et tu sais quoi Diego ? Celle-là, elle est notre

Je m'attendais pas du tout à le voir ici lui, je savais que après un prêt de deux ans il voulait revenir à L'Atletico, et que son agent était Mino, mais je ne pensais pas que son transfert était si certain qui se pointerait ici, pour supporter l'Equipe. Diego Costa, il s'agissait de Diego Costa, un ancien de la maison, il était parti à Chelsea, mais il est très attaché à L'Atletico qui veut déjà y revenir. J'adore ce garçons, il est proche de Mino, mais aussi très proche de Simeone, il a un comportement insupportable, mais qu'es que je l'aime pour ça, son insolence, et son arrogance, en plus de ça, c'était un bon joueur, lorsque on apprend à le connaitre c'est une personne très ouverte, très marrante et très attentionné. Vraiment, c'est un joueur qui va vraiment bien à L'Atletico, un fou gagnant qui en veut.

'' Comment ça va ma belle ? '' – '' Mais super et toi ? ''

Il m'avait répondu qu'il allait bien, nous nous étions fait une accolade, ça me fessait plaisir qu'il soit là vraiment, je le connaissais bien voir très bien, pour être honnête, j'étais monté de nombreuse fois à Londres avec Mino, et j'avais eu l'occasion de voir des Matchs de Chelsea, et comme il s'entend parfaitement avec Mino, on était allé diner ensemble plusieurs fois, on s'était échangé nos numéros, et lorsque je montais à Londres je dormais chez lui, il fallait simplement le connaitre pour l'aimer, il est spécial, mais il est vraiment gentil, et j'étais vraiment contente de le voir ce soir. C'était un très bon ami à mon pére aussi.

'' Alors tu veux rentrer ? '' – '' Chelsea ne veut pas me garder, et je ne jouerais que pour une seule autre équipe, L'Atletico ''

J'avais souri, bon choix de carrière, il peut être que bien dans cette équipe, on a tellement de rage, d'envie, et de force que sa lui correspond très bien, de toute façons, on est connue pour être une équipe de charcutier qui font que défendre et qui insulte tout le monde, alors Diego va bien à cette équipe.

'' Très bien, ce qu'on peut dire, c'est que tu sais ce que tu veux, je vais m'occuper de toi ''- '' T'occuper de moi ? Ça pourrait me plaire ! ''

J'avais rigolé, Diego adore me taquiner, il fait quasiment que ça d'ailleurs, tout le temps, il me taquine sur le real de Madrid, sur mon pére, sur Antoine, sur tout, il adore, je suis sa cible préféré et c'est lui qui le dit, mais on arrive aussi à discuter ensemble sérieusement.

'' Alors je croyais que tu travaillais avec le Real de Madrid '' – '' Je travaillais pour le Real''

On s'était tous les deux dirigeait vers la buvette du Stade pour aller cherché une bière, et discuter dans le même temps, il savait des choses que d'autre ne devais pas savoir alors il fallait que on soit seule pour qu'il me parle de chose comme ça, et puis il pouvait aussi me parler en Portugais mais bon.

'' Tu as vraiment fait des recherches sur ce qui pouvais nous couler ?'' – '' Ouais, je les vraiment fais, mais j'ai trouvé deux fois pires chez nos adversaires, tu ne peux même pas imaginez ''

Il avait souri, tout le monde se doute que avec le Real il y a des choses qui ne vont pas, mais franchement, personne ne trouve, il faut avoir accès à des choses, a des dossiers très difficile à avoir, je les ai eu parce que je devais chercher sur L'Atletico de Madrid.

'' Merci pour eux, il y croyait plus '' – '' Et ben maintenant ils ont tout pour y croire ''

C'est sûr qu'il y croyait plus, parce qu'il devait la donnée au Real, mais maintenant ils peuvent y croire parce que ils peuvent la gagner. J'avais pris la bière que me tendais Diego en le remerciant. Et on s'était dirigé vers la tribune.

'' Tiens, ce n'est pas ta copine ? ''

J'avais jeté un coup d'œil vers Beatriz qui était en bas de la tribune, je n'osais pas vraiment l'aborder pour le moment, je verrais après, je m'étais mis à côté de Diego, beaucoup plus haut dans la tribune, je n'avais pas vraiment envie de me faire insulter, parce que je crois que tout le monde est au courant de mes pseudo magouille, totalement fausse. Mais qu'importe ce soir, Je sais qui je suis, pour qui je vais chanter, et pour qui je vais prier. J'avais souri à Carla qui m'avais souri, et qui visiblement pensé que j'allais venir prêt d'elle. Tout a l'heure.