Je m'étais décidé à entrer dans mon appartement, prudemment, et ceux que j'avais vu m'avait laissé sans voix, vraiment. J'avais tout de suite pris mon téléphone pour composer un numéro
'' Allo ? '' - ''... '' - '' Allo ? Allo ? '' - '' ... '' - '' Camille ? '' - '' Bea je... ''
J'avais raccroché, je n'avais pas osé parler a Bea, je ne voulais finalement pas de son aide, je fixé le mur en face de moi, le mur, le mur de mon appartement ou était écrit en grosse lettre '' A morir por el Atleti ? '', De la peinture rouge, ce message, clair et précis, m'était destiné sans aucune hésitation, et me donnait des frissons, me fessant sursauté à chaque petit bruit, je n'avais pas pu retenir une larme et un souffle d'effroi quand j'avais vu ce qui longé le sol, une dizaine de balle, des balles, je veux dire celle que l'on met dans les pistolets, je m'étais laissé tomber contre le mur, en larme à présent. Est-ce que ça allait trop loin ? Oui, Est-ce que j'avais peur ? Oui, Est-ce que j'avais fait des conneries ? Oui. Est-ce que je regrettai ? Pas une seule seconde.
'' Camille, ouvre cette porte ou je la... '' - '' Bea c'est ouvert ''
J'étais encore figer contre le mur, en face de ce désastre, quand j'avais entendu la voix de Bea et de Koke, elle était venu, alors, elle s'était inquiété pour moi, elle était directement venu me voir
'' Camille, qu'es qui se passe ? '' - '' Bea regarde ''
Bea n'avait pas fait attention, Koke lui oui, et avait indiqué le mur d'en face a Bea qui s'était levé automatiquement, en jurant fortement.
'' Prend des affaires, tu viens chez nous '' - '' Non Bea, je ne veux pas vous mettent dans cette merde ''
Bea m'avait relevé et donné un verre d'eau, quelqu'un était venue chez moi, quelqu'un était rentré dans mon appartement putain de merde. Dans mon espace personnel quoi. Merde. Et surtout il me menacé.
'' Cette merde, Camille ? Tu la fait pour nous ! Alors tu écoutes Beatriz, tu prends des affaires et tu viens chez nous, au moins pour cette nuit, et cette après-midi ''
Koke m'avait cloué le bec, j'avais obéi sans oppositions et j'étais parti faire mon sac, je n'aurais pas pu rester ici de toute manière, j'avais fourré quelques affaires et d'autre chose auxquels je tenais.
'' Allez, on y va, viens la ''
Avant de partir j'avais pris les douilles qui trainer contre le sol et je les avais mis dans mon sac, j'ai besoin de leur faire comprendre que si j'ai peur, ce n'est pas pour cela qu'ils auront ce qu'ils veulent putain de Madrinista. J'avais fermé à double tour mon appartement et je m'étais engouffré dans l'ascenseur avec Koke et Beatriz.
'' Voilà, Installe toi, c'est ta chambre et ta maison, pour le temps que tu veux d'ailleurs ''
J'avais posé mon sac dans la grande chambre d'ami de la maison de Koke et Bea, j'avais regardé autour de moi, une chambre simple et épurée, rien de plus avec une télé et rien d'autre. C'était fade, sans grande personnalisation, une chambre d'ami quoi. J'étais redescendu vers le salon pour voir Beatriz et Koke, qui était tous les deux sur la terrasse
'' Hey ça va ? '' - '' Ouais merci de m'accepter chez vous, j'irai nettoyez demain, et je retournerais chez moi ''
Je m'étais assise sur une chaise sur la terrasse de leur superbe maison, et un de leur superbe chat léopard était venue sur moi, je l'avais câliné automatiquement.
'' C'est trop dangereux, reste jusqu'à Mercredi '' - '' Je sais me défendre, puis, je n'ai pas peur d'eux ''
Koke avait rien dit, quand a Beatriz elle avait soudainement soupiré et bruyamment aussi, nous l'avions regardé Koke et moi, en même temps.
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Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & Moi
Fiksi PenggemarCamille, étudiante de psychologie du foot, découvre un secret qu'elle n'aurai jamais pu imaginé sur sa vie, et sur ses Parents. Un secret qui l'amènera à vivre des moments difficiles, mais aussi des moments de joies. Entre Madrid, l'Italie et le res...