Chapitre 62 ; Les contres temps C'est de l'impro et Bea le sais pas

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'' Je n'aime pas mais alors vraiment pas me mettre dans des situations pareils, Giu' vraiment pas ! ''

Je râlais, et j'étais clairement chiante, mais, je dois dire que j'étais un peu stressé, voir beaucoup stressé la, tout aller pas du tout avec l'emploi du temps que je m'étais fait, vraiment pas. Dans ma tête on arrivait à 15h heure espagnole, et Carla devait venir nous chercher sauf que nous étions arrivé en retard, et pas que d'une heure, non de 3h, il était 17h passé, et Carla été parti au match, avec Diego et la petite. Le retard dû à des '' Conditions Météorologique mauvaises '' qui nous avait fait faire un détour. Et là, j'attendais juste nos putains de valise, qui n'arrivait pas, et ça me mettait hors de moi. Tout ce que j'avais prévu partait en fumée. Dans mon plan, c'était, Carla nous posait chez elle, on se posait, je récupéré ma voiture qui était chez elle, puis, je rentrais chez mes grands-parents, je me préparé pour rejoindre Beatriz à 18h à la Bandita Locura et après on irait ensemble au match. Mais il était bientôt 18h, j'avais plus de batterie pour prévenir quelqu'un ni Giuliano d'ailleurs laissant un post comme dernier message I just wanna use ur love tonight Avec comme localisation Buenos Aires. C'était un bordel, et moi qui voulait vivre le match sereinement, ça ne le fessait pas.

'' Tu trembles ! '' - '' Ouais, je suis nerveuse, c'est 19h, le match est dans moins de deux heures, et on est encore dans ses putain d'embouteillage ''

On avait pris un taxi, et bien évidemment, on était dans les bouchons, je savais que on n'était pas très loin, mais j'en pouvais plus, c'était nerveux.

'' Ok, gardez la monnaie, prend les valises Giuliano ''

Je m'étais rapidement, séparé du chauffeur de taxi, et j'avais rapidement payé, et pris nos valises, pour tout aussi taper le code d'entrée de l'immeuble de mes grands-parents, et de fracasser le boutons de l'ascenseur comme si il allait arriver plus vite.

'' Salut mamie ! On passe juste poser les valises et se changer, on est grave en retard ''

Ma grand mére n'avait dû rien comprendre, j'étais rentré en furie, laissant ma valise dans le couloir, j'avais directement branché mon portable au câble que je tenais dans la main pour qu'il charge, et j'avais dit à Giuliano de faire de même. Ensuite j'avais chopé un vieux maillot de L'Atleti qui été dans '' Ma '' Chambre, et j'en avais donné un a Giuliano pour qu'il se change aussi, un peu de déodorant, un rafraichissement du visage, une tasse de café que m'avais préparé ma grand mére, j'avais aussi récupéré mon drapeau Antimadrinista, et je crois que en 30 minute a tout cassé on était prêt à repartir.

'' Soyez prudent ! Et toi si tu ne peux pas rentrer force pas ! Giuliano tu la surveille ! ''

J'avais levé les yeux aux ciels mais je trouvais sa tellement mignon qu'elle s'inquiète pour moi, mon grand pére était au match déjà. J'avais mis mon portable toujours éteint et branché a une batterie externe pour qu'il charge plus vite dans mon sac, et j'avais mis dessus mon drapeau, j'avais embrassé la joue de ma grand mére, et j'avais attrapé la main de Giuliano allons y.

'' Le métro, Giu, cours ! ''

Et on avait couru, pour s'engouffrer dans le métro, qui était déjà plutôt bien remplie, soulagement, déjà on est dans le métro, on a 5 arrêts et 1O minute à pied. Je pense que Bea pense que je ne viens pas, ni personne d'ailleurs, parce que la dernière fois, à l'entrainement sa c'était mal fini. Mais, non, j'y allais, parce que je voulais, c'était un bon match pour revenir, il y aura ma mére son mec, et puis je veux voir le fameux tifo et la vidéo de Motivos de un sentimientos vu que c'est moi qui est payer et je suis dessus en plus.

'' De toute façon on va en fondo sur et après on verra ! ''

On se dépêchait, parce que sinon, il n'y aura que des places pas terrible, et surtout probablement plus à côté de Beatriz, mais pour l'instant, je crois que je suis tellement sous pression que je ne fais même pas attention autour de moi, je slalomé entre les gens pour me rendre à l'entrée du Fondo Sur, sans à penser à autre chose.

'' Vous m'ouvrez votre sac s'il vous plait ''

Après m'être fait fouiller au corps, je m'étais bien évidemment soumis à l'exercice de l'ouverture de mon sac à main, j'avais perdu l'habitude, mais je retrouve vite mes reflex, ce n'est pas si loin que sa dans ma mémoire.

'' Bon match mademoiselle, je suis ravis de voir que vous êtes remise ! ''

J'avais souri et remercié l'homme qui vérifié nos abonnements, forcément ouais qu'il allait me reconnaitre c'était sûr et certain, mais bon, c'est comme ça, je suis une petite star ici, enfin je suis surtout la fille de Simeone, la meilleure amie de Lucas Hernandez, L'Ex petite copine de Antoine Griezmann, mais aussi la petite fille de Luis, la fille de la compagne d'un des secrétaires General du Real Madrid, la psychologue de Mino Raiola et surtout la fille Poignardée. Ça fait beaucoup trop.

J'avais attendu mon petit frère qui lui, attendait toujours pour ce faire fouillé, il y a beaucoup plus d'homme que de femme. Mais le plus gros était rentré donc ça allait, je répondais a des ''Holà '' alors que je n'avais pas de souvenir de eux. Mais, enfin.

'' Allez viens ! ''

J'avais attrapé la main de Giuliano, et il l'avait serré et on s'était faufiler, jusqu'à l'étage du stade, et ensuite on ira retrouver Beatriz.

'' Giuliano tu veux une bière ? ''

Ouais, je sais il a 16 ans, mais, c'est occasion spéciale et puis m'enfin, il est jeune, a son âge, je buvais une bière au Calderon à chaque match, voire deux, une avant et une pendant la mi-temps, pour moi c'est obligé, c'est comme une tradition.

Il avait hoché la tête, et j'avais mimé un '' Dos Cervezas con limon por fa '' et 30 secondes plus tard, j'étais servi, et Giu aussi.

'' Comment tu comptes retrouver Beatriz dans tout ça ? ''

Oh ben le téléphone, je crois que c'est la seule solution, parce que je ne suis pas sûr de la retrouver, j'avais dit a Giuliano de chercher, et j'avais sorti mon téléphone, que j'avais toujours éteint dans mon sac.

'' Je me suis légèrement fait harceler ''

J'avais montré mon portable a Giuliano, une tonne d'appel manqué, des WhatsApp, et des SMS aussi, c'était le bordel, j'avais regardait mon pourcentage de batterie 79 %, j'avais débranché mon portable et j'avais appuyé sur '' Bea '' pour l'appeler.

'' Allo ? '' - '' Bea ? '' - '' Ah toi, alors c'est quoi ton excuse cette fois ci Camille ? '' - '' Bea ! '' - '' Non ! Non ! Il y a pas de Bea, va y trouve moi une bonne excuse ? '' - '' Beatriz ! '' - '' Tu sais quoi je savais que sa finirais comme ça encore une fois hein '' - '' Putain mais ''

Giuliano m'avait tapé sur l'épaule, et avait pointé du doigt, un endroit, et j'avais souri, j'avais vu Beatriz, premier rang à côté du Speaker, enfin ! J'avais repris la main de Giuliano

'' Il y a pas de putain qui tienne, tu m'as encore fait de faux espoir ! Je sais, que ta pris l'avion, alors t'es ou hein ? Oh attend laisse-moi réfléchir, à Londres ? Ou en Italie ? Tu sais quoi j'en ai marre et puis... ''

J'étais arrivé derrière elle et j'avais raccroché, et j'avais attrapé son téléphone pour le lui voler.

''C'est bon tu as fini la ? ''

SS SS SS

Coucou !

Nouveau Chapitre !

Bonne vacances ! Bisous

Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant