Chapitre 14 : Ramenons cette putain de psy à sa maison

168 8 0
                                    

'' Tu vas ou ce Week end ? ''

J'avais rigolé quand Gio m'avais demandé ou j'allais ce week end, j'étais toujours de sorti, toujours, mais ce week end, j'allais au même endroit que lui. Pour une fois ! J'étais en train de faire mon sac, encore, et toujours, mais c'est ce qui me plaisait le plus. Faire mon sac, et partir toujours, tout le temps. Gratuitement.

'' Avec toi ! A Turin ! ''

J'avais lâché ma valise, pour rejoindre Giovanni, ou mon frère, j'avais pris l'habitude puis on s'entendait tellement bien tous les deux, il était avachi sur le lit, je m'étais mis à côté de lui pour que l'on prenne 5 minute pour discuter

'' Ben enfin ! Tu viens me voir jouer ! Ça fait combien de temps que tu n'es pas venue ? ''

Oh, je sais plus, je ne sais pas, au début, j'y allais tout le temps, avec lui, j'essayais même de le suivre dans ses déplacements, et puis après tout allais si vite...Mais là il me fessait culpabilisé totalement

'' Gio' je suis désolé ! Tu le sais, mon boulot, il ne faut pas que je déconne avec ça ! ''

Pendant deux mois j'avais rien fait, honnêtement rien, j'avais assez d'argent de côté pour vivre sachant que je vivais gratuitement chez Gio' et qu'il m'offrait toute ses choses que donner le club pour la famille, les places, les chambres d'hotel... Mais j'en ai eu marre, on aurait dit une vrai Wags, et je détesté ça. Et j'avais trouvé un homme sur ma route, et maintenant je suis importante et on peut dire que avec mes 7000 euros de salaire fixe sans les primes, je me suis trouver un rythme de vie que j'avais jamais cru avoir.

'' Comme c'est parti, tu vas être celle qui a le mieux réussit de la famille ! Tu vas surpasser papa ! ''

Je vais surpasser son pére ? Ça m'étonnerais, entraineur de l'Atletico, quand même, bon Gio est footballeur dans un grand club alors non plus, mais on peut dire que je suis derrière eux deux, parce que j'ai réussi quelque chose de grand sans avoir les mêmes moyens que eux.

'' Tu vas faire quoi à Turin ? ''

Je vais rejoindre mon patron, on va voir le match ensemble à vrai dire, et je crois que après je pars avec lui encore une fois je ne sais ou, il me le dira au dernier moment comme d'habitude de toute façons

'' Je vais voir le match avec Mino, après je ne sais pas où on va ''

Bon ok, je vous doit des explications, lorsque on est '' Psychologue'' on peut traiter avec un club, à titre privé, ou rattaché à un agent de joueur, et ben moi, je suis rattaché à un agent de joueur, et pas n'importe lequel, probablement le plus connue, le plus charismatique, le plus demander, le plus fou, le plus fantasque, Mino Raiola, et quand vous travaillez pour lui en tant que Psychologue, vous vivez pas à moitié. Le luxe, les voyages, et tout ce qui va avec... Tant que vous bossez bien, tout est parfait. Je bosse pour lui depuis 5 mois, on a déjà voyagé jusqu'en Chine. J'ai fait le bilan Psychologique de Stars, et tout marche. Lorsque je l'ai vu débarqué un matin chez moi à Gênes, me disant qu'il voulait que je travaille pour lui, je n'y croyais pas, mais j'avais aucune raison de refuser, tout ce qui l'importé c'était que j'ai un diplôme de Psychologie, que je parle plusieurs langues et je parle L'anglais, l'espagnol ma langue natale, le français , le portugais un peu Allemand et un peu Italien, et que je déteste autant que lui mon pére. Je voulais prendre ma revanche plus que tout sur Antoine, sur mon pére, alors ça m'avais plus de le faire, et finalement on était début Mars, et nous travaillons toujours ensemble. J'avais pris beaucoup de confiance, et ce n'était pas pour déplaire aux personnes avec qui je vivais, être devenu une femme au lieu d'une petite fille qui fessait que se plaindre en attendant que l'on la blesse. Finit ça.

Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant