J'avais souri, oui, en effet, On allais à Concha Espina pour faire la descente au Stade avec les supporters de L'Atletico, je l'avais fait plusieurs fois, mais j'avais envie de le faire découvrir ca a mon frère, et surtout qu'il comprenne un peu ce que c'est d'être de L'Atleti. Et il va le vivre. J'avais sorti mon drapeau de L'Atletico, avec écrit dessus un simple mot qui voulait dire beaucoup Antimadrinista Je l'avais mis autour de mon cou, et je l'avais attaché.
On avait fait des photos, on avait parcouru se chemin, doucement, mais montrant a tout le monde que nous étions là, chantant plus fort que jamais. J'avais profité de ce moment, sans vidéo, sans photo. Juste une, j'en avais juste fait une, et quand je serais dans ce stade assise je la poserai.
'' Bon, autant te dire que Florentino sera pas loin alors tu te tiens correctement, et le drapeau on le range '' - '' Va y c'est nul ! ''
Ouais, je sais mais j'avais reçu des règles de Mino, et il fallait les respecté c'était mon patron, donc, quand même. Il avait soupiré et m'avait donné le drapeau pour que je le range, on était clairement bien placée mais enfin, pas dans l'ambiance quoi. J'avais rien dit, je m'étais juste assise à ma place, il restait 40 minute avant le début du match. J'avais pris mon téléphone, et j'avais posté sur Instagram ce que je voulais poster identifiant mon frère '' Mira si soy colchonero que paso por Concha Espina como pasa un forastero, como los Indios ocupas que acampan con sus bandera en la ribera del Pupas #Manerasdevivir #Motivosdeunsentimiento #ManerasdeMORIR J'avais mis sa en Story bien évidemment, ce passage de ma chanson préféré au monde, parce que cette photo c'était Concha Espina, en fait, cette photo c'était Giuliano et moi, c'était Lui avec son maillot et mon drapeau, alors que moi je tenais une bombe fumigène de couleur rouge, celle que l'on utilisé pour les grand évènement, ça n'était pas aussi nocif que un fumigène, et autorisé hors des stades, j'en tenais un qui était craqué, cachant nos visage a tous les deux, nous avions pris cette photo devant la bouche de métro.
'' Regarde il y a Bea ''
J'avais regardé dans la direction que me montré du regard Giuliano, j'avais vu Beatriz, qui m'avais regardé et m'avais salué en souriant ce que j'avais vu avant de brusquement fermé ma bouche et plus sourire du tout. J'avais vu ma mére, et mon beau pére, j'avais tourné le regard vers Giuliano, et j'avais vu Perez, Génial. Je l'avais vu passé derrière et s'installer à quelques sièges au deuxiéme rang, j'étais au premier, il était entre moi et Beatriz, elle aussi était au premier rang. Je ne sais pas ce qu'il en est de nous deux.
'' Bonsoir, je m'assois ici, d'accord ? ''
J'avais fait deux yeux ronds quand j'avais vu Cerezo ici enfin s'asseoir à côté de moi, le président de L'Atletico a côté de moi quoi, ok. J'avais soupiré, ça va me calmer. Je vais devoir fermer ma bouche.
'' Qu'il est moche cet Hymne ''
Ouais c'est clair, j'avais regardé Giuliano en hochant la tête c'est clair que il est moche, c'est l'hymne du Real, mais c'est mon chanteur préféré qui le chante. Et après ça, le coup d'envoi avait été donné.
'' Parti comme c'est parti, on va s'en prendre 1O la ''
J'avais soupiré, et je m'étais frotter les mains, j'avais froid, c'était un match du Real qui avait déjà mis un but, le but de Ronaldo, fessant se levé quasiment tout le monde, j'avais croisé le regard du président du Real qui m'avais fait un clin d'œil, et j'avais vu ma mére se levé les deux bras au ciel, Vaya maman, tu m'as fait naitre de l'Atleti.
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Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & Moi
Fiksi PenggemarCamille, étudiante de psychologie du foot, découvre un secret qu'elle n'aurai jamais pu imaginé sur sa vie, et sur ses Parents. Un secret qui l'amènera à vivre des moments difficiles, mais aussi des moments de joies. Entre Madrid, l'Italie et le res...