Mon Père, L'atletico Madrid, Rodri & Moi

Chapitre 19 :Ta garce de fille, elle aime son club maman.

Il fallait que je dise '' On a gagné la ligue des champions '', et électrochoc je m'étais mis à pleurer, mais vraiment, réalisant que heureusement que je savais moins aussi faire des sacrifices, et surtout ne pas me faire avoir par l'argent et pas la célébrité, et voilà, je savais que tout ça ce n'était pas pour rien, c'était vraiment géant. J'avais jeté un regard vers Diego la haut, qui m'avais adressé un clin d'œil et un grand sourire, c'était trop bien !

'' Regardez-les ! Regardez-les ! ''

J'avais regardé les madrilènes récupéré leur médaille d'argent, leur médaille d'argent putain ! Et nous on a la coupe, c'est maman, c'est trop bon, la coupe.

'' C'est trop beau ! ''

Oh mais tellement, mais tellement, j'avais serré dans mes bras ma Beatriz d'amour après c'était à nous d'aller récupéré la coupe, la coupe putaaain.

'' Les filles ont descend sur la pelouse vous venez ? ''

Avant la remise de la coupe, oui carrément, moi je voulais descendre pour voir Lucas vraiment, et pour aider Carla avec Frances, d'ailleurs quand elle était venue nous dire ça, j'avais attrapé la petite pour qu'elle vienne dans mes bras.

'' Bravo ! Bravo Papa ! ''

Je regardais d'un œil fier la remise de la coupe, avec la petite Francesca dans mes bras, qui semblait rien comprendre, mais qui pourtant n'arrêté pas d'applaudir, elle était tellement adorable, vraiment. J'avais regardé de loin avec un regard bien au-dessus passé les madrilènes, ça fait du bien, un bien fou. J'avais souri, et mon regard étaient retourné vers mes gars, qui allais soulever la coupe, il l'amenait vers eux, j'avais senti les doigts de Beatriz se mêler au miens, ça voulait dire que elle allait encore pleurer, j'avais entendu un bruit sourd dans le stade, un roulement de tambour, fait approximativement avec les pieds, et de la voix un '' Ooooh '' sourd.

'' Ooooolééééééééééééé ''

Magique, j'avais regardé Gabriel Fernandez levé la coupe, avec des larmes, il avait quasiment tous des larmes et moi aussi, des larmes de joie, c'est vraiment vrai alors, trop beau, mais vraiment, j'avais regardé Beatriz, elle aussi a les larmes, c'est un rêve pour eux, mais aussi un sacrée rêve pour nous, enfin, on a gagné putain ! J'avais jeté un œil a Giuliano qui était plus que heureux a côté de moi, il tenait plus en place. Elle est beaucoup plus belle la coupe quand elle est à nous, c'est clair. Carrément plus canon.

'' Je peux y '' - '' Allez va ! ''

Beatriz ne voulais pas me laisser seule avec Francesca, et resté pointer à côté de moi au lieu de profiter de Koke, tous les autres étaient allé voir leur famille, je laissais Lucas profiter de sa maman et de son oncle. Ça me fessait plaisir, de le voir comme ça, enfin, pas dans l'ombre de son petit frère Théo qui lui jouait au Real de Madrid (Aha, j'ai choisi le bon frère). J'avais vu Beatriz partir en courant dans la direction de Koke, elle lui avait sauté dessus en l'embrassant, il l'avait fait tournoyer dans les airs, adorable vraiment, ils sont trop amoureux.

'' On va allez s'asseoir la bas Francesca, tu es d'accord ? ''

J'avais dit ça à Francesca en allant vers un banc posé au bord de la pelouse, parce que ce n'est pas que elle est lourde, mais un peu, quand même, donc à un moment sa commence à faire mal au dos.

'' Je peux ? ''

J'avais demandé à une femme qui était là pour surveillé les enfants je crois si je pouvais m'asseoir avec elle, elle m'avait bien évidement dit oui, avant d'engagé une conversation avec cette même femme