Phobia (tw :LGBT+ phobie)

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Hey! Voilà, c'est un Os un peu différent de d'habitude. Je voulais traiter de la LGBT+ phobie. Je fais partie de cette communauté, en étant Pan et Agenre. J'ai eu la chance de ne pas avoir à faire à des remarques blessantes venant de tiers, mais j'ai bien conscience que c'est un problème considérable. Et ce n'est qu'une petite partie. Beaucoup trop de monde a oublié l'origine humaine de chaque personne sur cette terre, et le comportement que certains, trop nombreux, ont adoptés me tue, tellement il me débecte, de part son inhumanité. N'hésitez pas à me dire que ce vous pensez de cette situation, et à bientôt! :-)

PDV Magnus :

Je me réveille tranquillement après une bonne nuit réparatrice. Je regarde sur le côté, et observe dans le plus grand des calme Alexander en train de dormir profondément, si profondément qu'il commence à ronfler de la manière la plus adorable qui soit. Oui, c'est tout à fait subjectif, mais tout ce que je dis est véridique, ok ?

Toujours est-il que j'observe la première merveille du monde jusqu'à ce qu'un grognement le réveille, ce qui mit fin à cette admiration la plus totale. Il ouvre difficilement les yeux, évidemment encore fatigué, puis un fin sourire dès la seconde où il me voit.

-Coucou toi. Bien dormi ?

-Bien. Et toi ?

-Mmmh.

Cette réponse me fait relever un sourcil dubitatif, puisque généralement ses réponses sont plus développées. De plus, je n'ai pas eu mon bisou du matin.

-T'es sûr ?

-Mouais.

Cette fois-ci, il a une plus petite voix et me rajoute un faux sourire que je détecte aisément. Tout en gardant mon sérieux en camouflant mon inquiétude, je demande :

-Alexander, qu'est-ce qu'il y a ? T'as fait un mauvais rêve ?

Il hoche doucement la tête, et j'ouvre alors mes bras, pour qu'il puisse venir nicher sa tête dans mon cou et profiter de mon réconfort.

Je lui caresse tendrement le dos et les cheveux, puis je lui demande doucement :

-Raconte-moi ?

-C'était pas un cauchemar. À vrai dire, il ne passait presque rien, dans ce rêve. Mais j'ai ressenti tout le long un sentiment étrange. Comme si je ne pouvais plus rien ressentir, alors que je le voulais plus que tout. C'était très perturbant. Et tous mes efforts pour exprimer quoi que ce soit étaient vains.

Il reste les yeux dans le vide au creux de mes bras, sans rien dire. Je me mets finalement à sa hauteur et le regarde avec mes yeux de chats. En les voyant, il se détend encore un peu plus et sourit sincèrement, avant de se rapprocher de moi, et de poser délicatement ses lèvres douces et chaudes sur les miennes. Il se met ensuite à califourchon sur moi, et je l'embrasse encore plus passionnément.

Deux heures plus tard, nous prenons un bain, et je masse les épaules d'Alexander pour le détendre encore plus. D'ailleurs, il apprécie cette tendresse bien méritée, et se laisse aller de plus en plus en mes bras.

En début d'après midi, nous décidons de sortir nous promener, pour prendre l'air. En fait, c'est nos vacances, alors on en profite le plus possible, tu vois ? Aucun téléphone, donc pas de dérangement. Nous allons ensuite au ciné, voir un film qui nous a bien fait rire.

En sortant, il faisait nuit. Je proposai à Alec de créer un portail, mais il refusa, sous prétexte que je devais me ménager et ne pas faire trop d'effort. Alors on se mit en marche, en direction de mon loft, où j'avais envie de m'occuper de lui pendant des heures, en lui faisant l'amour comme si ma vie en dépendait.

OS MalecOù les histoires vivent. Découvrez maintenant