40. « Même ton parfum, cariño... »

5.8K 306 485
                                    

C'est officiel, mon bracelet est égarer.
J'ai littéralement retourner tout l'appartement mais ce dernier reste introuvable ! Je suis à deux doigts de me mettre à chialer.

C'est un bijou de famille, j'y tient énormément. Ma grand-mère paternel me l'avait offert lors de mon seizième anniversaire et depuis ce jour-là il ne m'avait jamais quitter.

Jusqu'à aujourd'hui.

— Prends le miens sista, c'est mon ex qui me l'a offert pour officialiser nos trois heures ensemble le mois derniers mais c'est de l'histoire ancienne désormais alors ça ne me dérange pas qu'il te revienne.

Cristal, toujours dans l'abus.
Je vais devenir folle avant la fin de la journée. Déjà trois jours, trois longs jours à chercher ce bracelet de partout !

— Mon père vas m'assassiner... maugréais-je en enfonçant ma tête sous l'oreiller.

— Si tu meurs, je peux hériter de Nabil ?

— Si tu meurs, je peux hériter de Nabil ?

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

— Désolé.

J'ai envie de l'étrangler, c'est hard.
Comme si ce n'était pas déjà suffisant, voilà que j'ai l'autre débile aux cheveux longs dans la tête maintenant.

Seigneur.

— Cristal, tu vas mourir avec moi ! grognais-je en l'étranglant faussement comme Homer le fait à Bart dans les Simpsons.

Intentionnellement, je la secoue telle un prunier tout en lâchant des grognements aigües... alors ouais, c'est mon côté animal qui ressort lorsque je suis contrariée.

— C'est quoi ce délire encore ?

Bon, le rat d'égout se tape encore l'incruste.
Je relâche la môme.

— Elle m'étrangler.

— Je l'étrangler, confirmais-je simplement.

Ahmed me regarde de travers.
Je secoue la tête, déjà épuisé de cet enfant.

— Vous êtes vraiment les erreurs de la famille ça me choque, heureusement que je suis là pour rehausser le truc quoi.

Pitié, dites-moi qu'il plaisante.
J'ai éclater de rire comme l'avant dernière des bouffonnes, car ouais la dernière c'est Cristal vu qu'elle a rigoler aussi.

— Aha, m'imite-t-il piètrement, si j'suis venu à la base des bases c'est juste pour te dire que Tarik à demander à te voir en bas alors bouge ton cul. 

C'était différent | 𝐏𝐍𝐋  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant