Lentement, Shion ouvrit les yeux. Elle était dans les bras de Toneri. Il dormait paisiblement à côté d'elle. Ils étaient dans la forêt.
Doucement, elle se retira de son emprise. Elle était complètement nue et elle avait froid. Dans cette petite tente, c'était difficile de se mettre debout. Elle chercha rapidement quelque chose à se mettre. Elle prit rapidement la tunique que portait Toneri.
En prenant le vêtement, un petit papier tomba au sol. Intrigué elle le prit pour lire ce qui était écrit.
Bien joué Toneri Otsutsuki. Maintenant que tu as la confiance et l'amour de l'ex première reine c'est bien joué. Il ne te reste plus qu'à l'utiliser pour qu'elle demande au roi de te faire confiance pour le tuer. Suis le plan à la lettre. Tu vas bientôt revoir ta mère.
Joues avec elle du mieux que tu peux pour qu'elle soit complètement folle de toi. Couche même avec elle. Mais tue le roi. Ensuite tu retrouvera la mère.
De la part du roi
Madara UchihaShion ouvrit grand les yeux en lisant le bout de papier. Non... Pensa la blonde. C'est pas possible...
Shion n'arrivait plus à respirer. Tout ça c'était une blague... Une plaisanterie... Tout ça c'était pour de faux !? Les mots doux... Sa façon de la regarder... Son si beau sourire qu'il lui offrait quand elle était triste.
Shion sentit son coeur se briser. Elle sait à quel point sa mère est importante pour lui. Mais c'est le fait d'avoir été utilisé qui lui faisait mal.
Non. En fait c'était le fait d'avoir crû une seule seconde qu'elle était vraiment aimé et que c'était faux. Faux... F. A. U. X...
Elle jeta le papier au sol et retira le vêtement. Son corps encore frêle après son union avec lui, elle se mit à chercher ses vêtements.
Tout ça... Ses baisers... Elle avait couché avec lui en se donnant de tout son coeur... Il ne l'aimait pas.
Elle s'en fichait qu'il l'utilise pour retrouver sa mère.
Non. Son problème, sa blessure était le fait qu'il ne l'aimait pas. Et elle ?
Elle en était folle amoureuse.
Elle n'avait même pas la force de le tuer dans son sommeil. Elle termina de s'habiller puis sortit de la tente.
Elle prit son cheval sans faire trop de bruit avant de s'enfuir en galopant loin. Très loin de cet homme qui venait de l'utiliser. Cet homme qu'elle avait bêtement aimé. Cet homme qu'elle aime d'un amour fou.
...
C'était la goûte qui faisait déborder le vase ! Couché sur bois de la Charente qui se dirigeait vers le barrage que la police avait fait, Tenten ne supportait plus le poids de Neji sur elle. À l'avant, le marchant qu'ils avaient payer conduisait tranquillement.
Son plan ne va jamais marcher ! Je perd mon temps ! Pensa Tenten.
Elle n'eut pas le temps de pester plus longtemps que la Charente s'arrêta.
- Eh monsieur, que cachez vous à l'arrière ? Demanda un policier en s'approchant.
- Des marchandises du village voisin. Pourquoi donc ?
- Il y a une enquête en cours. Nous devons tout vérifier pour retrouver l'assassin. Une femme. Je me dois de vérifier si vous ne la cachez pas.
Neji au dessus de Tenten la regarda. C'était le moment.
- À mon signal tu gémis.
- Pardon !?
Neji se mit à bouger. Instinctivement, Tenten croisa les jambes autour de ses reins, ce qui surpris Neji. Il lui murmura de commencer à gémir.
- Ah...
- C'est pas assez réaliste ! Dit-il à basse voix alors que lui même laissait échapper des râle de plaisir stimuler à la perfection. Comme si c'était la réalité.
Ou peut-être que ça l'étais réellement.
Le policier intrigué alla à l'arrière Avec ses collègues. Tenten n'arrivait pas à stimuler un gémissement de plaisir. Elle n'avait jamais été dans ce genre de situation. Sans la prévenir, Neji colla sa bouche à la sienne en descendant sa main entre ses jambes pour en caresser l'intérieur.
Tenten complètement prise de court laissa échapper un son qui n'était pas du tout stimuler.
- E... Eh ! Dit le policier gêné. Il se passe quoi ici ?
- Excusez nous... Dit Neji en lâchant les lèvres de la brune. Nous devions retourner chez nous ma femme et moi grâce à cette charrette. Mais elle était si belle. Je n'ai pas pu m'en empêcher.
En entant ce compliment qui devait s'en doute être faux, Tenten rougissa.
- Ça ne se fait pas ! Dit un autre policier.
- Vous vouliez fouiller à l'arrière ? Attendez un peu que mon épouse s'habille s'il vous plaît.
- Mon amour pourquoi tu t'arrête ? Dit Tenten surprise de sa propre phrase.
- ...
Neji n'arrivait pas à croire qu'elle venait de dire ça. La main toujours entre ses jambes, il fût gêné de leur position.
- Euh... C'est bon. Elle n'est pas ici, dit un policier.
- On s'en va. Désolé pour le dérangement.
- Mais de rien ! Dit Neji de l'autre côté. Heureuse qu'il y avait un grand drap qui couvrait les marchandises.
Dès que les policiers furent loin, Tenten le repoussa violent. Neji fût si surpris.
- Ne me touche plus jamais et ne m'embrasse plus... Plus jamais...
Neji ne fit aucun commentaire. Il regarda sa main qui s'était posée entre les jambes de Tenten.
Il souria tout simplement. Une fois encore son plant avait marché. C'était un génie.
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la dernière épouse du Roi
Fiksi PenggemarDepuis son enfance on lui parle de ce fameux roi à qui elle a été promise. Il en devait de son devoir de respecter ce que le peuple et les coutumes voulaient. Même cela devait lui coûter son bonheur. Même si elle devait renoncer à l'amour de sa vie...