Jour 16: Le second départ
Je me lève en sursaut par les rayons du soleil qui viennent me flouter la vue, le jour illumine déjà toute la région et je me trouve seul derrière ma maison, assis sur une chaise. Je remarque à côté de moi la chaise ou c'était endormi Alicia, elle est vide et je comprend qu'elle c'est déjà remit en route. Je rentre déjeuner rapidement avec mes parents avant de continuer mon voyage.
Mère de Jérémy: Alors mon chou, t'as aimé la fête hier ?
Jérémy: Oui, c'était super maman, ont c'est bien amusé Alicia et moi.
Père de Jérémy: Qu'est-ce que t'attend pour aller la rejoindre, elle doit être chez elle en train de manger elle aussi.
Jérémy: C'est vrai, elle est encore la ?
Je me hâte de finir mes céréales et me rue devant la porte de sa maison, son père m'ouvre mais me dit qu'Alicia est déjà parti depuis un moment "pour me dépasser" dit-il. Alicia, sache que je ne te laisserais plus un centimètre d'avance maintenant.
Père d'Alicia (me prenant encore une fois dans ses bras): En tout cas je compte sur toi pour toujours être avec elle 😁.
Jérémy (commence à étouffer): Pour ça faudrait... que vous me lâchiez...
Père d'Alicia: Ah oui, c'est vrai ça 😆, aller vas y champion.
Je retourne chez mes parents pour leur dire une nouvelle fois au revoir, ils me souhaitent de réussir le défit des arènes et d'aller le plus loin possible avec Alicia. Je me dirige vers l'embarcadere en repensant aux paroles de mes parents, je me souvient qu'au début de mon voyage ils étaient un peu contre l'idée de me voir partir. Mais maintenant, je crois qu'ils ont comprit que ce voyage est très important pour moi, Alicia et tout les autres dresseurs. J'ai aussi l'impression que c'est le fait d'avoir rencontré les champions qui leurs ont fait comprendre que l'engouement autour des arènes est une bonne chose, je suis content qu'ils l'aient enfin comprit.
Je prend le ferry pour le port et je retourne dans la route au nord, je peut finalement accepter les défits de tous les dresseurs que j'avait recalés la dernière fois. Maintenant que mon village est sauvé, je doit me concentrer à plein temps aux entraînements et redevenir un vrai dresseur en acceptant tous les défits.
Comme j'ai déjà visité la tour et la grotte présente sur cette route, inutile d'y retourner, j'arrive donc au bout de plusieures combats à Voltaya. C'est une ville contenant certe une arène, mais surtout la centrale électrique grâce à laquelle fonctionne tous les appareils de la région. Les ouvriers y font travailler leur pokemon électrique à atteindre une production d'énergie phénoménale, ceux qui fait qu'ils sont eux mêmes de bon défits en soi avant de m'attaquer au champion.
Un petit tour au centre pokemon et je me dirige vers l'arène pour voir si le champion est disponible. Une fois devant je remarque une note épinglé sur la porte "Pour pouvoir affronter le champion de cette arène, veuillez entrer le code qui vous est fourni par le dirigeant de la centrale".
Ah... je dois donc me rendre à la centrale pour le demander... bon, allons y dans ce cas. Une fois devant, j'entre directement et je suis automatiquement interpellé par un ouvrier.
Ouvrier: Bonjour, tu dois être un dresseur n'est ce pas ?
Jérémy: Euh oui, je suis la parce que je voudrait affronter le champion et j'ai vu la note devant l'arène.
Ouvrier: Exacte, laisse moi t'expliquer. Notre dirigeant se trouve au dernier étage de la centrale, mais pour l'atteindre tu dois battre les ouvriers avec un casque rouge, ils sont 10 et t'attendent déjà. Trouve les dans la centrale mais ne dérange pas ceux qui travaillent.
Jérémy: Oh intéressant, j'avez justement besoin d'un peu plus d'entraînement, je fait quoi quand je les aurait tous battus ?
Ouvrier: Chaque ouvrier battu te donnera un ticket, si tu as les 10, le dernier ouvrier que tu affronte te mènera directement au dirigeant.
Jérémy: C'est super intelligent comme système, j'adore 😁.
Ouvrier: Merci, comme nos pokémon doivent être fort pour créer assez d'énergie, on en profite pour faire venir les dresseurs pour qu'ils s'améliorent.
C'est vraiment malin comme façon de faire, faudrait qu'avant chaque champion, ont aient une épreuve comme ça. Je le remercie pour les informations et commence ma chasse aux casques rouges, empli de détermination.
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MON AVENTURE À ANDORA
PertualanganJe vis sur mon île natale nommée la région d'Andora, plus précisément sur un bout de terre religieux dans un petit village. Cela va faire bientôt un an que 12 dresseurs talentueux appelés les "champions" ont accosté ici, décidant de ranimer la régi...