Mensonge d'une vie

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🌟Lucy

Dire que c'est aujourd'hui... Aujourd'hui... Le retour du conglomérat ainsi que... Le départ de Natsu... Vraiment deux choses horribles... Je n'ai vraiment aucune chance.

J'étais adossée à la porte, en prenant le soin de la fermer correctement, tout en le regardant ranger ses affaires dans son sac. Je n'ai aucune envie qu'il part, mais je n'ai pas vraiment mon mot à dire, si ?

— Pourquoi ce silence, Lucy ? me demanda – t – il finalement en se tournant vers moi.

— Quoi ? relevé – je le regard vers lui avec aucune expression sur ce dernier.

— Je te trouve bien silence depuis tu es arrivée dans ma chambre, tu voulais me dire quelque chose ? me questionna – t – il finalement en arrêtant de ranger ses affaires.

— Non, rien de spécial... À part comme d'habitude, j'espère qu'on se reverra bientôt... lui avoué – je d'un ton presque silencieux en rougissant des plus belles.

— Je suis sûr qu'il y a autre chose, je te connais que trop bien, dit – il en recommençant à ranger ses affaires les unes après les autres.

— ... Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression que la maison va être moins animée, essayé – de le convaincre de rester sans vraiment le lui dire.

— Ha, ça tu peux le dire.

Et comme d'habitude, il a tout compris de travers...

— J'ai peur de revenir à ma vie nulle et ennuyante pendant longtemps... Je ne t'ai pas revu pendant plus de quatre ans... Imagine qu'on ne peut plus se revoir avant très très longtemps, essayé – je à nouveau de le convaincre mais cette fois – ci en choisissant une technique un peu plus subtile.

Un long silence s'est installé entre lui et moi, avant qu'il s'arrête définitivement de ranger ses affaires, pour s'approcher de moi. Arrivé à ma hauteur, il m'obligea à lever la tête vers lui, en me prenant par le menton. Je n'ai pu m'empêcher de rougir, encore plus, quand son regard a croisé le mien... Oh Natsu...

— Si ce n'est que ça qui t'inquiète, tu ne dois pas te faire de soucis alors. On se reverra bientôt, je t'en fais la promesse, même si je ne sais pas encore quand, j'en fais quand même une promesse, commença – t – il, et puis... C'est vrai qu'on ne s'est pas revus en 4 ans, mais dis – moi est – ce qu'à un seul instant, durant ces quatre années, as-tu arrêté de penser à nous deux ? me questionna – t – il un faible sourire tendre sur le visage.

— Aurais – je dû ? le questionné – je à mon tour les joues rouges.

— Tu vois, toi-même tu l'avoues. Alors crois – tu réellement que je vais encore une fois vouloir me séparer de toi aussi longtemps ? m'avoua – t – il, surtout après cette semaine que j'ai pu passer en ta compagnie.

— Non... répondis – je à sa place avec un regard tendre.

— De plus, j'en connais une qui serait déçue de ne pas pouvoir me revoir, ricana – t – il doucement en repensant à elle.

— Ah bon ? De qui parlez - vous, monsieur ? le taquiné – je sachant très bien de qui il voulait parler.

— Mhh... D'une ravissante petite fille, avec de magnifique cheveux dorées, des yeux noisettes d'une beauté incroyable, un véritable visage d'ange et une beauté aussi belle que sa mère, m'avoua – t – il d'un regard tendre.

— Mhh, je ne sais pas... J'hésite... me moqué – je gentiment.

— T'es sérieuse ?! s'exclama – t – il pensant que je l'étais.