Salem :
Je quitte le TGV en attendant comme les autres jusqu'à que je vois un homme au loin m'observer . Soit je suis paranoïaque sois je dois fuir on me dit que le train ne prendra les passagers que dans 25 min c'est trop long .
Je n'ai pas de portable et je ressemble à une femme douteuse avec mon odeur et mes habits sali. Je m'en vais discrètement , mais pas assez vue que l'homme me suis.
Je m'en vais vers la première issue et je vois au loin mon collègue Nabil avec une valise j'ai jamais été aussi heureuse de toute ma vie je suis à la limite de lui faire une demande en mariage je vais directement en sa direction , mais je sens une sorte de piqûre dans mon bras et un homme qui me retiens.
-L'homme : Tu vas me suivre sans faire de bruit ni de geste sinon c'est pas toi que je vais tuer mais tu vois ta ravissante amie ? Celle qui s'appelle Safa ? Elle prendra les coups de couteau à ta place .
Je ne dit plus rien je me sens droguer et impuissante . Comme ci mon corps devenais lourd et faible . Il me fait passer par une ruelle et je vois trois hommes m'y attendre ça aura été une belle lutte mais malheureusement le cache cache aura pris fin .
Je ne tiens plus sur mes jambes et je finis par tomber l'homme me rattrape et un autre viens l'aider . J'ai conscience de tout mais je suis impuissante .
-Un homme : Elle peut pas sentir bon comme toutes les autres .
J'ai envie de lui écraser mon point dans sa face , mais j'en ai pas la force . Mes paupière deviennent aussi lourde que mon corps . Je relève mon doigt et prononce sûrement mes dernières paroles à mon créateur .
[...]
Je reçois un jet douloureux en plein visage . J'ouvre les yeux et tombe sur un homme masqué .
-L'homme masqué : Tu pue .
Il m'enchaîne de jet d'eau puissant et tellement douloureux . Je me sens humilier une de mes larmes se dissous parmi l'eau qui coule sur mon visage . Je ne veux pas lui montrer une once de faiblesse il s'en servirais pour m'humilier plus qu'il ne le fais déjà .
Il m'observe puis il pars . Je suis donc assise menottée sur cette chaise peu confortable mon corps hurle de douleur à chaque fois que je tente de me délivrer . Les courbatures ne sont qu'un bonus à mon malheur actuelle .
Il reviens me dépose des affaires puis me délivre des menottes il sait pertinemment que mes jambes sont encore beaucoup trop lourde pour que j'effectue quoi que ce soit contre lui .
Je suis juste exténuée je n'ai pas la force d'essayer quoique ce soit . Je veux juste qu'on m'épargne j'ai courue toute la nuit jusqu'à l'aube . Je suis restée sous des ordures pour survivre maintenant que je ne peux plus rien faire je veux juste qu'on me laisse au moins tranquille quelques instants .
-L'homme : Change toi t'inquiète je ne suis pas assez tordue pour t'observer de toute façon il n'y a rien à mater .
Il quitte la pièce en prenant le temps fermée à clé .
J'observe la pièce pour la première et je suis tout simplement enfermée entre 4 murs blanc et une ampoule .
J'aurais voulue faire la thug et ne pas l'écouter , mais je suis tellement sale que ça ne pourrais que me faire du bien . J'enfile un jogging bien grand pour moi , mais tellement confortable et qui sens la lessive . Me voilà à trouver du bonheur dans mon malheur quel échec .
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De mon kidnapping j'ai imploré la liberté, sans me douter qu'il me libérait.
Novela JuvenilPour certaines personnes c'est un kidnapping , mais pour moi ce fut une délivrance ... Avant que cela m'arrive mon entourage me répéter sans cesse « tu es si triste » , mais ils auraient dû dire « n'est tu pas fatigué d'être triste ?». Non je ne s...