-Partie 10-

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Salem :

-Face de porc : Tant que ma mère ne crame rien ça me vas .

-Moi :En tout cas si ça dois arriver dans la réalité je fais direct un constat avec toi .

-Face de porc : Arrête c'est limite si tu simulera pas  une larme pour obtenir mon num .

-Moi : Ne généralise pas ton cas stp .

-Face de porc : Tu pense vraiment que j'aurais tenter quelques chose avec toi ?

-Ryad : Oh là je ressent des mauvaises ondes le couple 2.0 .

-Moi : Ne m'assimile plus jamais à ton frère .

-Ryad : Waaaaah .

-Moi : En plus t'es un génie de conduire avec un masque ! c'est vrai que tu vas pas du tout attirer la police . Après ton frère il fait le choquer quand je ne veux pas être assimilée à toi .

Face de porc tourne sa tête vers moi et m'observe ... euh sinon la route sa l'intéresse ? En parlant de la route je tourne ma tête et..

-Moi : FACE DE PORC LA ROUTE ! Tu va l'écraser !

Il tourne sa tête et freine subitement .

-Moi : À l'avenir laisse Ryad conduire .

-Face de porc : À croire c'est de ma faute si les gens traversent comme ci ils étaient invincibles.

-Ryad : je crois que je me suis peter le nez les gars .

J'éclate de rire je tourne ma tête je vois Ryad se tenir le nez .

-Face de porc : Ta cru que la ceinture c'est une option ?

-Moi : Jure c'est ton nez qui a craquée contre mon siège ? ( En rigolant )

-Ryad : C'est marrant hein !

-Moi : Oh mon petit Ryadou est susceptible .

-Ryad : Tu veux que je te frappe toi .

-Moi : Direct les grands mots !

-Face de porc : À sa place je t'aurais brûler vif même .

-Moi : Il est quel heure stp ?

-Face de porc : 18h45 .

-Moi : Dit moi à quel heure j'ai demander ton avis ?

-Ryad : Ehhhhhhhhhhhh Kayna ravis de t'avoir rencontré !

-Face de porc : Ta de la chance je peux pas te défigurer maintenant .

-Ryad : Jolie visage comme ça et tu veux le saccager ?

-Face de porc : De quel beau visage tu parle ? J'en vois aucun moi !

-Moi : Arrête déjà juste tout à l'heure tu perdais tes moyens .

-Ryad : Ohhhhh je suis choquer !

De mon kidnapping j'ai imploré la liberté, sans me douter qu'il me libérait. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant