-Partie 52-

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Salem ,

-Moi : Pardon ? Tu es culotté de dire ça alors que t'assume jamais quand tu à tord .

-Amir : Depuis cette nuit je ne fais que ça ..assumer .

Il tourne son siège et pars vers le centre du salon .

-Amir : Tu es pas au courant de la nouvelle ?

-Moi : Quel nouvelle ?

-Amir : Je suis redevenue amie avec ton frère .

-Moi : Attend c'est une blague j'espère ?

-Amir : Je ne pense pas être en position de faire de l'humour .

-Moi : Comment tu peux accuser un homme d'avoir commis une chose que seul toi à fait et devenir amis juste après avec lui ?

-Amir : Disons que de base j'avais des nouvelles de toi grâce à lui et je te cache pas que j'avais du dégoût pour moi en lui faisant croire qu'on avait rompue sans problème . Puis petit à petit il a pris la place de Ryad .

-Moi : Donc il ne sait toujours pas la vérité ?

-Amir : Non .

-Moi : J'espère qu'il ne le saura jamais .

-Amir : Hum .. je te le montre pas , mais je culpabilise vraiment .

Non sans blague ? Je l'avais pas remarqué.. tu a juste foncer sur une voiture pour moi .

-Amir : Toi et tes pensées à voix hautes ça ne changera jamais .

-Moi : Faut croire que oui .

-Amir : J'ai mis un froid ?

-Moi : Ta carrément congelé la pièce .

-Amir : Toujours dans l'abus toi .

-Moi : Fidèle au poste ! Tu devrais te reposer un peu il est tard .

-Amir : C'est plutôt à toi de dire ça , moi je dors pas .

-Moi : Excuse moi Dracula .

-Amir : C'est quoi le lien ?

-Moi : C'est toi qui fait le vampire 2.0 a ne pas dormir .

-Amir : Tu vas pas aussi me reprocher de ne pas dormir ?

-Moi : Oh que si .

-Amir : Si tu veux absolument donner des ordres vas faire un enfant , mais me casse pas la tête .

-Moi : Ça vas être dur de faire un enfant si lorsque je suis marié , mon mari n'a pour but que de me briser le cœur .

Nous y voilà je pouvais pas garder ça pour moi .

-Amir : Tu a rompue notre promesse .

-Moi : MAIS QUEL PU*** DE PROMESSE ?

-Amir : ARRÊTE DE FAIRE LA CONNE !

-Moi : DÉJÀ LE MOT CONNE EXISTE PAS SALE ABRUTIS !

De mon kidnapping j'ai imploré la liberté, sans me douter qu'il me libérait. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant