-Partie 22-

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Salem ,

-Amir : J'aimerais qu'on s'accorde une chance faire comme ci de rien été .

-Moi : Tu sais que c'est im..

-Amir : ( Me tend la mains ) Salem moi c'est Amir et toi ?

-Moi : Amir arrête ...( Petit sourire gêner ) .

-Amir : Ah tu connais déjà mon prénom mais ça répond pas à ma question ?

-Moi : Aleykoum Salem je m'appelle Kayna .

-Amir : C'est un très beau prénom . Dit moi Kayna puis je t'inviter demain soir à manger un morceau ?

Attend pause je rêve où il me propose un date ? Alors comme ça Amir veut me draguer ? Je dois répondre quoi ? Je ne veux pas revivre ce que j'ai vécue avec lui et le divorce est le seul but qui me tiens encore debout , mais le nouveau Amir est aussi un homme admirable et ... merde ! Kayna tu dois devenir égoïste si tu veux survivre dans la vie .

-Moi :J'ai un couvre feu très tôt .

-Amir : En après midi aussi ça me dérange pas .

Eh puis merde je suis déjà dans la merde je risque pas de tomber plus bas si j'accepte .

-Moi : On se dit à 13h alors ?

-Amir : Je viens te récupérer à 12h30 ?

-Moi : Faut que je demande l'autorisation à ma mère  .

-Amir: S'il le faut je vais me présenter à elle .

-Moi : Soit a l'heure demain .

Je me lève puis je me dirige vers ma chambre .

[...]

J'enfile mes bottines puis j'ouvre la porte de sortie .

-Ryad :( Voix de bledard ) Tu fait attention benti ( ma fille ) les hommes sont dangereux !

-Moi : Oui papa ( Petit rire )

-Ryad : Pas touche à li cilote !

J'explose de rire avec Ryad il est épuisant .

Amir sort de nul pars avec sa voiture et viens vers nous .

-Ryad : Toi je ti a l'œil pas touche à ma fille !

-Amir : J'en prendrais soin .

-Ryad : Et pas touche à li..

-Moi : ( en lui coupant la parole ) Ta geu**** .

-Amir : Vaut mieux qu'on y aille il y a des bouchons .

Il se retourne puis pars moi et Ryad on le regarde c'est vrai qu'il a sortie le grand jeu .

-Ryad : Ah ma fille il a un jolie cu ton copain .

-Moi : Wow non ça vas trop loin ta connerie c'est ton frère .

De mon kidnapping j'ai imploré la liberté, sans me douter qu'il me libérait. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant