Chap12-Tyron

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Matinée normale, un réveil de casser et une douche chaude. Aujourd'hui je compte bien avancer avec la pleurnicharde.
Au moment où je sors de ma chambre pour descendre les escaliers direction la cuisine j'entends la voix de Christian.

-Bonjour fils.
Il se fout de ma gueule là? Il est comme un snobe avec sa tasse de thé à la main et son attitude balai dans le cul.

-C'est quoi... la dixième fois que tu m'aperçois au réveil le matin depuis ma naissance?
Ce qui me met en rogne c'est qu'il m'appelle fils, je ne suis pas son fils un père ne laisserait pas son enfant être élevé par une femme de ménage alors qu'il vit sous le même toit que celui-ci.
Mon géniteur manque de recracher son thé face à ma réplique.

Il faut dire que Laurene est plus présente dans ma vie que mes propres soi-disant parents.
Je le laisse en plan dans le couloir il sait que j'ai raison donc je ne vois pas trop ce qu'il pouvait me répondre d'autre que son silence.

Hier j'ai mangé comme un ogre pour récupérer toute la bouf que j'avais expulsé de mon estomac et là, j'ai toujours faim faut croire que un grand dîner ne peut pas remplir une personne qui a vomi ses tripes pendant des semaines. Et comme je n'ai pas envi que mon père descende me retrouver à la cuisine, je vais juste prendre une pomme et me casser je me demandes pourquoi il n'est pas allé travailler aujourd'hui normalement monsieur je dirige une grande entreprise publicitaire ne manque jamais de jour de travail alors qu'à ma naissance le bâtard était en retard.

-Bonjour Monsieur.
C'est Laurene, elle est toujours souriante normalement ce genre de personne me soule mais elle j'ai appris à vivre avec. J'avoue que je culpabilise un peu de l'avoir parler comme ça samedi. Je me gratte la nuque gêner.

-Je t'ai déjà dit de ne plus m'appeler comme ça Laurene.
Elle sourie et se rectifie.

-Bonjour Tyty.
Eh merde elle me sort le surnom qu'elle me donnait petit c'est une horreur.

-Ça ne va pas en s'améliorant (je prends une pomme posée dans le panier à fruit) mais bon je suis... je suis... désolée de t'avoir parlé... comme ça samedi.
Je ne suis pas très doué pour les excuses et elle le sait. Elle rigole face à ma gêne.

-Pas grave, tu manges quoi ce matin?

-Une pomme (je mords à l'intérieur du fruit) il faut que j'y aille.
Elle fronce les sourcils et me souhaite bonne journée. C'est la seule personne avec qui je suis réellement sympa elle m'a élevée depuis tout petit je lui dois bien ça.

Je me tape la route direction le lycée mes aujourd'hui j'arrive avec dix minutes d'avance pour entamer la première phase de mon plan.
Je marche dans les couloirs cap sur mon cours d'histoire je remarque la suceuse qui me reluque quand je passe devant elle. Elle fait une fixette sur moi ou quoi? Elle a pas capté qu'elle était juste un plan cul? Bref j'entre dans la salle de classe et remarque Maya, voilà celle dont j'ai besoin elle traine avec la chialeuse et sa bande donc si je me rapproche d'elle je vais me rapprocher de son groupe et donc de la chialeuse.
Au moment ou elle s'apprête à s'installer à la deuxième table du troisième rang je l'agrippe le coude et elle sursaute.

-Ça te dit de t'asseoir avec moi?
Il lui faut une minute pour se rendre compte que c'est vraiment réel.

-Euhhh... ou... oui...je le veux. Oh non je veux plus tôt dire oui... je veux bien... m'asseoir avec... toi.
Bégaie-t'elle. Je lui prends donc la main pour la guider vers la dernière place au bout de la classe.

Elle s'installe et fixe la table.

-Ça va?
Elle ne daigne même pas me jeter un coup d'œil et répond:

-Euhh oui oui.
Bon va falloir que je fasse avec.

Je lui tiens le menton la forçant à me regarder dans les yeux.
Au moment où nos regards se croisent rien ses yeux verts sont tout bonnement banales alors je lui demande:

-Ça te dis que je te fasse quelque chose?

-Euhhh oui.
Elle me regarde comme si j'étais l'une des plus grandes merveilles du monde ça me fout la gerbe.

Alors je glisse ma main libre le long de sa cuisse elle frissonne heuresement qu'elle a mis une jupe qui lui arrive aux genoux. Je me fraye un chemin entre ses jambes, là elle lâche un petit gémissement.

-Faut pas faire de bruit.
Je lui murmure.
Et voilà le vieillard qui fait son apparition décidément il me fait de plus en plus chier mais ce n'est pas sa présence qui va me stopper dans mon action.
Tant dis que je lâche le menton de Maya elle se détourne rapidement de mon regard et fixe devant elle je lui caresse la cuisse et dit:

-Ne fait pas de bruit.

-Mais... il y'a le prof.

-Tu veux que j'arrête?
Je sais pertinemment qu'elle désire que je finisse ce que j'ai commencé.
Elle secoue la tête. Voilà maintenant je peux me faire une opinion sur elle, c'est le genre de fille qui se laisse peloter en plein cours et qui plus est par un mec qu'elle ne connait pas. De toute évidence elle ne fait pas partie des un pourcents de filles vierges de ce bahut.
De toute façon moi ça m'arrange alors, je continue ma petite escapade entre ses cuisses au moment où ma main touche son string elle sursaute. Je tire sur la partie du tissu couvrant son intimité et la caresse je voie bien quel effet ça lui fait car elle enfonce ses ongles dans sa cuisse gauche. Elle mouille et je continue à titiller son point sensible je jette un coup d'œil à son visage qui est déjà empourpré ses lèvres sont plissées de manière à ce que j'entrevoie qu'une ligne fine pendant ce temps le cours se fait tranquillement. Mes mouvements se font de plus en plus appuyer juste au moment où je sens ces cuisses tremblées je me stoppe remet son string en place et sors ma main de sa jupe elle émet un soupire satisfait.

-Ça te dit de déjeuner avec moi et mes potes aujourd'hui?

-O...ui
Elle a encore du mal à respirer normalement.

-Super viens avec tes copines. Et si tu es sage je t'en donnerai plus.
La blonde esquisse un sourire. Quelle pute.

Là maintenant j'hésite entre pioncer et continuer à amadouer la blonde en chaleur à mes côtés. 

SECRET SUFFERING• Tome1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant