Hello ^^ j'écris d'Ardèche aujourd'hui ^^ (bon ok, pour vous ça change pas grand chose, mais pour moi oui : pas d'ordi ! C'était chaud d'écrire ce chapitre mais j'ai réussi ! :D)
Du coup, désolé s'il y a des fautes d'orthographe ! Je relirai quand je serai sur mon ordi pour d'éventuelles corrections ;)
Sinon, vous vouliez en apprendre plus sur Taria, sur ses origines, sa vie d'avant ? Vous allez être serviiiiiiiis ^^
Bonne lecture !
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*7 ans plus tôt, dans un autre monde*
La place centrale était bondée, bondée d'elfes. Des forgerons, des artisans, des marchands en tous genres (verrerie, peintures, pots en terre et tant d'autres). Il y avait de tous les âges, enfin, en apparence, puisque les elfes peuvent vivre des siècles. La plupart portaient des vêtements simples, ce qui laissait supposer qu'ils se trouvaient en bas de l'échelle sociale. D'autres portaient des toges plus élaborée – très colorées, et pour certaines ornées de pierres précieuses -. Enfin, des gardes munis de lances à l'allure très travaillée patrouillait sur la place, mais aussi dans les rues adjacentes, et l'artère principale de Tir nà Lia.
Un groupe d'elfes qui semblaient pressés se hâta vers le château. L'un deux tendit un parchemin au chef de garde posté devant la grande porte massive, ornée de runes elfiques, et attendit qu'il en lise le contenu. L'elfe grogna, mécontent d'avoir été dérangé. Un autre releva sa capuche, découvrant son visage. Le garde regretta immédiatement son attitude, et s'inclina respectueusement. Il s'exprima dans un langage que seule leur race pouvait comprendre.
- Maître Thoran, fit le garde. Pardonnez mon impertinence, je pensais encore avoir affaire à l'un de ces gredins des faubourgs, ils se font plus fréquents à demander une audience à notre roi, alors...
- Est-ce que j'ai l'air d'être l'un de ces coquins ? répondit le dénommé Thoran, agacé.
Il avança d'un pas lourd vers le garde qui se figea sur place. Un autre elfe, l'arrêta. Ce n'est pas le moment, le roi nous attend, chuchota-t-il. Thoran dépassa le garde sans un regard, suivi par ses confrères et consœurs. Entrés dans le palais, ils se débarrassèrent de leurs manteaux, et suivirent un autre garde à travers les longs couloirs. Thoran marchait en tête.
Le groupe arriva bien vite dans une salle immense. Des vitraux taillés par les meilleurs artisans de la ville laissaient filtrer les rayons du soleil, et la pièce baignait dans une atmosphère lumineuse. Des plantes que l'on ne trouvait nulle part ailleurs étaient disposés de part en part. Au centre se trouvait une immense table ronde, taillée dans le bois le plus sain et solide de toute la région. Des chaises élégantes étaient disposées tout autour. Au fond, deux trônes surplombaient l'ensemble de la pièce.
Le premier était inoccupé. Sur le second siégeait un elfe, paré de bijoux et de pierres précieuses, d'une couronne discrète mais ornée de runes, d'un grand sceptre, et d'une robe longue couleur or. Il avait des yeux jaunes perçant, des cheveux gris mi-longs tirés en arrière, un visage anguleux, quelques rides, des oreilles pointues, et un teint blafard. Lorsque le groupe d'elfes entra, il se leva et descendit de l'estrade. Chacun de ses invités s'inclina respectueusement devant lui, en signe de profond respect, et il les invita à s'asseoir.
Les elfes prirent place sur les chaises comme à leur habitude, pour l'assemblée du mois. Chaque mois, le roi réunissait les érudits des quatre coins d'Elfland, pour discuter des sujets pressants concernant le palais, le peuple, les lois, et beaucoup d'autres sujets. Chacun des elfes présents occupait un rôle précis, et nul n'était plus qualifié que celui qui l'occupait. Le roi s'assit le dernier, et ordonna aux gardes de fermer les portes de la salle royale, et de ne les déranger sous aucun prétexte. Deux servantes amenèrent des mets et des boissons, afin qu'ils puissent se restaurer. Elles quittèrent la pièce.
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Un Sorceleur pas comme les autres
FantasyUne nouvelle menace plane sur Le Continent, en particulier sur le célèbre barde Jaskier ! Léo, un sorceleur dont on ne connaît rien, va se retrouver mêlé à ses histoires, et il aurait peut être mieux fallu qu'il s'en éloigne le plus rapidement pos...